Notre pays est menacé dans son essence par l'invasion migratoire, qui ne manque pas de «collabos» dans nos (prétendues) élites dénationalisées pour nous inciter à ne pas nous défendre.
Je crois que ça sera difficile, sanglant, angoissant, mais que les envahisseurs échoueront à prendre le pouvoir, pour deux raisons :
1) quoiqu'on dise, ils sont arriérés, incapables de faire fonctionner un pays moderne (voire incapables de faire fonctionner un pays quel qu'il soit, hors le leur, où ils ont toute légitimité à faire ce que bon leur plaît, y compris des conneries). Cela finira par réveiller les Français les plus nobles.
2) de notre point de vue d'envahis, nous les catégorisons grossièrement, les «Africains», les «Nords-Africains». Mais leurs divisions sont bien plus nombreuses et irréconciliables. Regardez les guerres ethniques qui ont ensanglanté toute l'Afrique dès que les blancs n'ont plus été là pour maintenir l'ordre.
Ce n'est pas pour rien qu'à Fresnes (meuh non, les «issus de l'immigration» ne sont pas sur-représentés dans les prisons), on sépare les Algériens des Marocains (même ceux Français de papiers. Face à la pression de la nécessité, il arrive que la réalité reprenne le dessus sur le mirage bien-pensant).
Plus ils arriveront près du pouvoir, plus ils se diviseront. Et les Français de France reprendront les vieilles techniques du temps des colonies : payer des supplétifs dans un camp pour combattre l'autre camp.
Très bonne remarque !
RépondreSupprimerEt même s'ils arrivent à prendre le pouvoir d'une manière ou d'une autre, ils prendraient le pouvoir de quoi ?
Cette France-là ne ressemblera pas à celle d'aujourd'hui. La France ce n'est pas un territoire, c'est d'abord un peuple.
Imaginez la Fance sans Airbus et Michelin, sans Aventis et Areva, sans les facs de médecine et sans Polytechnique, sans Versailles et les prestigieux vignobles....etc.
Voyez l'Egypte d'avant le changement de peuple et celle de maintenant, voyez ce que sont devenus,les anciens riches pays Berbères, le pays des Nabathéens, la Perse, le Liban, le royaume de Bizance....
- Ils ont tout cassé.
Ils ne deviendront pas majoritaires brutalement. Celà voudra dire que bien des années avant le nombres des jeunes Blancs diminuera constamment dans les écoles et le nombre des jeunes Noirs ou Arabes augmentera.
Ce qui impliquera une baisse de QI moyen donc une baisse de niveau global.
Les entreprises ne trouvant plus de cadres partiront... Et les hommes et le femmes maitrisant un savoir faire partiront aussi.
Celà a déjà commencé....
Connaissez vous la 3ème langue parlée en Floride ?
Mais oui, le français.
Tous les Français de France ne peuvent pas partir en Floride.
RépondreSupprimerEmigrer pour fuir l'invasion, c'est encore un point de vue de ces élites dénationalisées qui se sentent aussi à l'aise à Hong-Kong qu'à Paris.
Je pense que Les Occidentaux finiront par avoir le dessus, peut-être avec l'aide plus ou moins volontaire des Chinois, mais après quels ravages et quelles dévastations ?
Puissiez-vous avoir raison Franck!
RépondreSupprimerMais à la lecture de votre billet, très convaincant, les patriotes apparaissent bien plus raisonnablement et légitimement fondés à entretenir l'espoir d'un redressement de la France et d'une libération de son territoire, qui après coup semblent beaucoup moins illusoires que ce à quoi le peuple avait cru devoir se résigner, par la force du fait accompli devant lequel il était mis.
On en vient à s'étonner, après vous avoir lu, de n'avoir pas pensé au scénario que vous esquissez, tant il paraît tomber sous le sens, une fois qu'il nous est suggéré.
Votre connaissance de l'histoire militaire vous y sans doute aidé. Effectivement, en y réfléchissant, ce fut aussi la tactique employée avec succès en Irak par le général Petraeus, qui, pour chasser les djihadistes étrangers d'Al-Qaida a noué des alliances ponctuelles avec les factions sunnites autochtones qui par patriotisme leur étaient hostiles, ou encore, a monté les chiites contre les sunnites. Même si, par rapport au cas de figure qui nous occupe, les rôles occupant/occupé étaient inversés, ou le flux d'argent inverse.
Un billet revigorant donc, et générateur d'espoir.
"Emigrer pour fuir" l'invasion ou plus surement le déclin économique et culturel de son propre pays qui se plaint des conséquences dont il chérit les causes (je vous la pique sans vergogne ; mèldois par ma mère, elle fait partie de mon héritage).
RépondreSupprimerMais il se trouve que l'on est trop bien en France pour émigrer. C'est là l'une des faiblesses historiques de notre pays : impossible de peupler les colonies - les anglais n'avaient pas ce problème !
Même pour ces 'élites dénationalisés', un coup de blanc avec des huitres sur une plage de Bretagne ou un apéro avec des amis, sous l'ombre protectrice d'un olivier du du Lubéron n'ont aucun équivalent.
Il est amusant de noter que nombre de banquiers français avaient quittés Londres AVANT la crise. Non qu'ils aient eu le nez particulièrement creux (ils auraient alors sauvés leurs économies), mais le spleen du pays, après 5, 10 ou 20ans de british way of life est décidément trop fort.
Aussi, je rejoins Franck : notre attachement si profond à notre façon de vivre, fruit de la maturation conjointe de notre territoire et de notre culture, ne pourra se déliter si facilement.
Le soir de Noël, nous recherchons Petit Papa Noël sur youtube. Clic, chanson, ce n'est pas celle de Tino Rossi, mais c'est ok. Nous chantons avec les enfants, mais à un moment, nous nous regardons étrangement avec ma femme : les paroles nous sont inconnues.
RépondreSupprimerUne fois la chanson finie, nous recherchons la version de Tino, et nous repérons le passage changé. Il s'agit du passage avec les paroles "au son des cloches de églises". Une pure coïncidence, bien sûr !
Oui mais.... Qui composera l'armée de libération? L'émasculation du petit blanc est déjà bien avancée.Nourris aux antibio, à la défense des retraites et à la culpabilisation du peuple blanc colonisateur, sont ce ces troupes vaillantes qui nous sauveront? je vous trouve bien optimiste Franck.
RépondreSupprimerLaurent Jamaire
Il faut habiter en province (enfin pas partout) pour arriver à se convaincre qu'il y a de l'espoir.
RépondreSupprimerPour moi il n'y en a plus, c'est deja trop tard, la cause : démographie et invasion massive de 300 ou 400 mille Africains par an.
Que la France ne soit plus Michelin, Airbus ... c'est déjà (presque) fait.
Le résultat sera le pire cauchemar que l'on puisse imaginer (guerres ethniques, villes barbelées ...)
Les arrivants ne voient pas d'un mauvais oeil l'arrivée des leurs sur notre sol...
Certes, l'assistanat généralisé et l'attention scrupuleuse que notre système soviétoïde, spécialement l'EN, a porté à la coupure de nos racines, ont rendu leurs fruits amers : l'homme occidental ressemble de plus en plus même pas à une femme, mais à une femelle sans cervelle et sans mémoire.
RépondreSupprimerMais le naturel revient toujours, la réalité se venge. Tant qu'il y aura des bibliothèques et des «mauvais» livres pour transmettre, tout espoir ne sera pas perdu.
Certes, nous ne sommes pas très nombreux et nous ne ne le serons pas plus dans l'avenir. Depuis quand notre histoire serait-elle faite par les masses ?
Ou alors la France du futur ressemblera à çà (Villa Vortex - Dantec) :
RépondreSupprimer"La désagrégation [de la France] est si totale qu’on ne peut plus recenser les milices privées, les bandes armées, les factions militaro-politiques, les organisations fanatiques qui s’affrontent sur ce qui ne peut plus s’appeler une nation, ni même un territoire. (…)
On sait que les vigilantes de l’Eglise de Scientologie combattent avec les forces du Conseil Militaire de Restauration Nationale du général Debrelle, par contre les militants francs-maçons du Rite Ecossais Rectifié se sont rangés aux côtés de la « Junte des Colonels » du Comité Populaire de Salut Public. On dit que les Raëliens entreprennent des négociations avec les Brigades Vertes de la coalition écologiste radicale dirigée par Jacinto Ramirez, alors que les adhérents de la secte Moon prêtent depuis longtemps main-forte aux unités de l’Armée de Libération du Seigneur, importée depuis l’Ouganda par un marabout de la porte de Clignancourt.
Les Basques ont autodécrété leur indépendance dès le début de la guerre civile mais font désormais face à de très violentes luttes de factions, en particulier entre l’Euzkadi-Nord et son homologue du Sud. D’autre part, des Béarnais anti-indépendantistes se sont regroupés dans les Forces Libres de Navarre et avec l’appui de supplétifs espagnols ne cessent d’opérer de part et d’autre des Pyrénées.
Des volontaires russes, serbes et croates et des mercenaires hindous et népalais combattent dans les Alpes au sein des divisions sécessionnistes de l’Union Démocratique Transalpine, ou bien dans la Légion Française des Volontaires Occidentaux, contre les maquis islamistes du sheikh wahhabite Omar Khajkhali, un mollah d’origine algérienne venu de la banlieue de Toulouse, mais aussi contre les Réseaux Armés de la Résistance Maoïste du Dauphiné.
Les forces du Front Uni-Languedoc guerroient contre les colonnes de la Province Libre d’Aquitaine, les sécessionnistes de la République Celtique du Finistère affrontent les guérilleros de la Division « Du Guesclin », les Groupes Armés pour la Libération des Animaux sont désormais aux prises avec la police militaire de l’Etat Libre de Monaco.
Lyon est depuis le début des hostilités la proie d’au moins une dizaine de groupes rivaux d’importance, dont deux factions militaires ennemies, celle des « capitaines rebelles du Rhône » contre celle de l’Autonomie Générale Lyonnaise. Les formations du Centre des Ultra-Républicains y combattent les Noyaux Nihilistes « Netchaiev » et l’Organisation Révolutionnaire Populaire de tendance néoguévariste. Les Islamistes du Commandement Général Sud y combattent tout le monde.
A Marseille ce sont les militants locaux du Jihâd Islamique des Quartiers Nord qui se sont divisé la ville avec d’une part la Phalange Provençale du professeur régionaliste Plantinet, d’autre part les supporters de l’Olympique de Marseille regroupés sous le nom d’Union des Combattants Phocéens.
Les autonomistes monarchistes de Vendée affrontent les troupes loyalistes gouvernementales, alors que dans la région du Val-de-Loire, les forces légalistes présidentielles sont aux prises avec les néo-paganistes zoroastriens du Nouvel Ordre Solaire d’un côté, et les suprématistes noirs de la Malcolm-X Organisation de l’autre.
L’eurodollar a été officiellement introduit dans les zones sous contrôle du Protectorat de l’ONU, c’est-à-dire le Mont-Saint-Michel et Paris intra-muros, mais partout ailleurs c’est la confusion la plus totale : les Gouvernementaux continuent d’utiliser l’euro, mais leur première scission (Armée Républicaine Nationale-Progressiste) a rétabli le franc. Les Royalistes sont revenus aux anciennes mesures d’avant l’introduction du système métrique. Leur monnaie officielle est le nouveau-louis. A l’Est on se sert de l’euromark, la monnaie euro-germanique nouvellement introduite sur les marchés. Les Islamistes ont leur dinar. Les mercenaires slaves viennent avec des roubles et des zlotys.
Aux dernières nouvelles le monde va très mal. »
Franck: "Tous les Français de France ne peuvent pas partir en Floride."
RépondreSupprimer- Avis non fondé. Voilà un pays doux à vivre, en plein développement où le niveau de vie y est bien meilleur qu'en France. Celà dit d'autres destinations sont tout aussi attractives.
"Emigrer pour fuir l'invasion, c'est encore un point de vue de ces élites dénationalisées..."
- Ce sera le point de vue des plus pauvres aussi. Il s'agira de sauver sa peau et de préserver la vie de nos enfants quand l'Etat Providence se sera effondré.
Je n'ai jamais autant goûté les traditions de France que là où elles se sont implantées avec authenticité, en pays libre.
Par exemple le meilleur restaurant de pure tradition française où j'ai pu diner n'était pas en France, mais au beau milieu des îles Keys, Chef de cuisine porto ricain, maitre d'hôtel polonais...
De toutes façons il va falloir choisir.
-Soit ce sera le scénario décrit ci-dessus car rien n'oblige quiconque à vivre dans un territoire qui ne nous ressemblera plus.
-Soit vous ne voudrez pas que coule le sang et il faudra tenter virer par la voie des urnes les incompétents qui ne savent pas gouverner ce pays.
Massivement.
Et là je ne vois personne avec une organisation structurée à part Marine Le Pen.
Ce n'est pas parfait mais l'heure n'est plus à la fine bouche.
Et si vous jugez que les idées du FN en matière d'économie mériteraient un bon lifting, alors c'est le moment d'entrer en force dans ce parti et de faire changer ces choses-là de l'intérieur.
Quant aux Chinois, évitez de les prendre pour les Américains en 44 !Cette époque est finie, nous avons trahi tout nos alliés. Ne vous faites aucune illusion. Regardez ce qui se passe en Grèce...
Nous serons seuls.
OT,
RépondreSupprimerVous avez peut-être raison. Je ne sais.
"Soit vous ne voudrez pas que coule le sang et il faudra tenter virer par la voie des urnes les incompétents qui ne savent pas gouverner ce pays.
RépondreSupprimerMassivement."
Croyez-vous que les principaux intéressés ne s'y sont pas préparés? Si nous atteignons 2012 sans encombres - ce dont je doute de plus en plus - des alliances nauséabondes vont se former pour faire barrage au "danger fasciste"... En l'état, je ne crois un instant à une quelconque possibilité de faire évoluer la situation par les urnes : le système est verrouillé!
Par ailleurs, en admettant une victoire du parti que vous évoquez, avec quels moyens pourront-ils seulement gouverner, en s'appuyant sur qui?
Je crains que ce ne soit pas avec des bulletins de vote que les incompétents auront besoin d'être virés. On ne sort pas de 70 ans d'addiction au communisme d'un coup de baguette magique. Comme pour les dépressifs, il est souvent plus agréable et rassurant de vivre avec sa maladie que de vouloir essayer d'en guérir.
RépondreSupprimerEntièrement d'accord avec vous deux Daredevil et Theo.
RépondreSupprimerDonc ma solution n°1 s'avère la meilleure.
Ainsi il faudra s'appuyer sur une diaspora française à l'étranger qui financera les besoins de la reconquête.