La phrase titre de ce message introduit Les Prêcheurs de l'apocalypse (Pour en finir avec les délires écologiques et sanitaires), de Jean de Kervasdoué.
Je vous fais le compte-rendu quand je l'ai lu.
Je n'en suis qu'au début, mais ce que demande l'auteur n'est qu'un peu plus de raison pour ne pas dire d'intelligence. Il prend l'exemple de la circulation à Paris :
> les travaux delanoesques n'ont pas permis à Paris d'améliorer sa qualité de l'air plus que les grandes métropoles comparables. On peut même se demander si le bilan global de ces travaux n'est pas négatif.
> Les sommes ainsi consacrées pour des profits très incertains auraient permis à coup sûr de transformer l'accès à cette ville pour les handicapés.
> on a peut-être remplacé des morts statistiques par pollution par des morts réelles par accidents de la route.
> la consommation d'énergie d'une ville étant inversement proportionnelle à sa densité de population, il est plus cohérent de travailler sur l'habitat que sur le plan de circulation, d'où l'idée de Delanoe des tours à Paris (1), rejetées par ses bobos ayatollahs verts, qui sont pires que des cons, qui sont profondément néfastes.
> l'électricité française étant produite à 95 % sans pollution atmosphérique (barrages + nucléaire), il aurait été plus judicieux de promouvoir à Paris scooters et voiturettes électriques, qui sont plus pratiques que les vélos et auraient donc été plus utilisés, que Vélib. Mais voilà, l'idéologie, la verte comme les autres, consiste justement à nier les faits et les raisonnements.
(1) : je précise que j'ai vécu dans une tour de Beaugrenelle, dans le 15ème, et que c'est tout ce qu'il y a d'agréable, j'y retournerais avec plaisir. Paris n'est pas Sarcelles.
Je rappellerai seulement ce petit mot de Denis Baupin, 1er adjoint du maire de Paris, en charge de l'écologie et plus précisément de la circulation,( vert bien sûr, c'est à dire ancien communiste réformé):
RépondreSupprimer" Les 4x4 sont à la voiture ce que les cigares sont à la cigarette " fermez le ban !
On voit clairement le taliban de l'écologie qui n'hésite pas à stigmatiser son ennemi mortel, celui qui pollue Paris à lui tout seul et qu'il faut montrer du doigt avant de l'éliminer, je veux parler bien sûr du fumeur de cigare en 4x4, l'ennemi public N°1, puisqu'ainsi en a décidé le grand mufti de l'écologie parisienne.
"je précise que j'ai vécu dans une tour de Beaugrenelle, dans le 15ème, et que c'est tout ce qu'il y a d'agréable, j'y retournerais avec plaisir."
RépondreSupprimerRhâââ! Mais alors, vous êtes co-responsable de la présence de ce gros étron architectural en plein coeur de Paris! On est content de votre plaisir, mais il empiète un peu sur celui des autres...
Mettre des tours dans Paris, c'est comme mettre des tours dans le centre historique et moyenâgeux de n'importe quelle autre capitale européenne, tellement Paris est minuscule.
Pour une fois, les Verts ont raison.
A la rigueur, le compromis delanoësque qui se dessine pourrait être un moindre mal: mettre des tours aux portes de Paris. Le problème, c'est qu'il faudrait démultiplier les transports collectifs avant... C'est pas en Vélib que tous ces gens-là vont se déplacer...
Paris est déjà l'une des villes les plus densément peuplées du monde. Et elle a déjà des tours, même si Delanoë et ses potes n'ont pas eu l'occasion jusqu'à présent d'y laisser leurs propres étrons architecturaux pour satisfaire leur vanité.
La première "tour" de Paris date des années soixante, c'est un monument historique, elle est située à côté du Mobilier national.
En matière de tours, Paris a déjà la grosse bouse pompidolienne du 15e arrondissement, le caca du 13e arrondissement, sans compter l'immonde place des Fêtes, des barres hideuses dans le 12ème, et j'en oublie sûrement.
Mais pour un politicard français, tout ce qui a été fait avant lui n'existe pas, ne compte pas.
Pour une fois, je suis en total désaccord avec vous. Toute ville pour rester vivante doit voir son architecture évoluer.
RépondreSupprimerJ'adore Paris, mais pas au point de vouloir la figer en une ville musée, fantasme des bobos.
Il ne faut pas faire n'importe quoi, mais il ne faut rien s'interdire.
Je n'aime pas les tours du 13ème, par contre, celles du 15 ème passent, malgré leurs défauts.
De plus, les techniques modernes, du verre, de l'acier et du béton offrent une grande palette de moyens aux architectes de goût. Tour ou pas tour, un mauvais architecte fera toujours une horreur.
De plus, vous tombez dans le défaut français de l'architecture destinée à être vue, mais dans les bâtiments, il faut aussi y vivre. Or, les tours peuvent offrir le pire comme le meilleur.
Comme je l'ai dit, je garde un excellent souvenir de ma vie dans une tour de Beaugrenelle. Je ne vous cache pas qu'un jour, si mes moyens financiers me le permettent, j'y retournerai.
pour que des tours ne soient pas des merdes, il faut qu'elles soient l'oeuvre de promoteurs privés dans un environnement où il est facile de construire un projet concurrent: dans ce cas, les tours auront une valeur architecturale intéressante.
RépondreSupprimerun exemple:
http://tinyurl.com/2vxhov
Par contre, les bouses HLM produites à l'économie par des décideurs publics qui ne jouent pas avec leur argent sont à proscire...
Beaugrenelle est le produit des amours incestueuses des fantasmes de certains élus parisiens et de développeurs privés: demi bien, demi mal. Certaines tours sont réussies, d'autres nettement moins, et le quartier vit assez mal, comme en témoigne les difficultés récurrentes du centre commercial (nous fumes voisins sans le savoir, Cher Franck ! je fus moi même riverain du parc André Citroen, il y a quelques années...)
Concernant la citation de Kervasdoué, il est faux de dire que la consommation énérgétique des villes est inversement proportionnelle à leur densité. En tout cas, l'étude de la couronne parisienne dément cette affirmation. Ceci dit, c'est bien le seul reproche que l'on puisse faire à Kervasdoué, le reste de son propos n'est que bon sens.
"Ceci dit, c'est bien le seul reproche que l'on puisse faire à Kervasdoué"
RépondreSupprimerJe vérifierai.
Quant aux tours, je partage entièrement votre avis.
Je ne vous surprendrai donc pas en vous disant que je trouve New York bien agréable.
En fait, à l'occasion et pour une fois, j'applique le principe de précaution.
RépondreSupprimerComme on ne sait jamais ce qui va sortir de l'esprit malade d'un architecte fricotant avec un décideur public, je préfère ne pas risquer de voir une daube à proximité de Notre-Dame.
Parce que Notre-Dame, on pourra jamais la reconstruire ailleurs. Parce que les merveilleux immeubles anonymes du XVIIIe siècle qui font Paris, on ne pourra jamais les recréer.
Haussmann a déjà foutu sa zone avec ses fameux immeubles dits "haussmanniens", qui font très chic à la devanture des agences immobilières mais qui sont des merdes immondes sur le plan architectural.
Quand la municipalité de Bilbao a décidé de confier la ville aux plus grands architectes mondiaux, et qu'il en est sorti le musée Guggenheim, Bilbao était un trou, une pustule, un étron, une ville industrielle abandonnée par l'industrie, grise et sinistre, en décapilotade.
On ne pouvait que l'améliorer. C'est ce qu'on fait Frank Gehry, Norman Foster, Santiago Calatrava et d'autres.
Maintenant, les touristes du monde entier vont à Bilbao pour le musée Guggenheim.
Les touristes du monde entier ne viennent pas à Paris pour la tour Beaugrenelle. Paris est un trésor d'art et d'histoire que nous avons l'obligation de préserver pour les générations futures.
Quant à l'aspect utilitaire qui est bien sûr très important (le logement, l'activité économique, la circulation), tout le problème vient des frontières de Paris.
C'est parce que ces frontières sont ridiculement étroites par rapport à n'importe quelle autre capitale mondiale d'un rayonnement équivalent que tous les raisonnements sont faussés.
La logique politique et administrative fait que tout le monde se dit: c'est à l'intérieur du Paris administratif qu'il faut tout faire: les logements, les bureaux, les noeuds de transport urbains, la mixité sociale, le logement des SDF, etc.
Si l'on voulait vraiment libérer aussi bien le logement que l'activité économique à l'intérieur du périphérique, il faudrait refaire ce qu'a fait Haussmann, et ce qu'a tenté -- mais fort heureusement pas longtemps -- Pompidou: éventrer Paris, raser des centaines d'immeubles anciens et de monuments, bouleverser le tracé des rues, bétonner des esplanades, etc.
Bien entendu, personne ne souhaite cela.
La seule vraie solution est l'intégration administrative de la banlieue dans Paris, afin que les aménageurs puissent raisonner au niveau du bassin de population, et non d'un tracé administratif totalement artificiel.
Quelques pas timides ont été faits dans cette direction récemment. La Défense existe (c'est hideux). Saint-Denis et Issy-les-Moulineaux commencent à être des centres attractifs pour les sièges de grandes entreprises.
Mais les résistances sont tellement fortes que le mouvement risque d'être très lent.
Pour finir, l'esthétique et la commodité d'utilisation ne sont nullement contradictoires: le bon architecte est précisément celui qui arrive à concilier les deux.
Or, l'absence de pragmatisme des Français, leur vanité naturelle me rend méfiant en la matière. Voyez cette stupidité qui s'appelle la Très grande bibliothèque.
Vincent: formidable, le cactus de Rotterdam. C'est autre chose que les tours de la Défense ou du 13ème arrondissement de Paris...
RépondreSupprimerQuand est-ce qu'on dynamite la tour Montparnasse? Voilà qui pourrait réconcilier les Parisiens avec l'architecture moderne!
J'ai vécu à Hong-Kong (et à NYC aussi), villes de tours s'il en est ! Et bien je peux vous dire que on y retrouve exactement la même chose qu'à Paris dans de l'habitat traditionnel : le pire et le meilleur ! Les écolos à Paris sont des bouffons. Au passage, ceux d'Issy-LM sont je crois favorables à des tours !!! bref les ecoco-lolo parigo veulent garder Paris ville musée.... Je suis prêt à parier qu'il y en aura même qui voudront garder Sarcelles et la courneuve comme une partie de notre patrimoine national !!!
RépondreSupprimer"la consommation d'énergie d'une ville étant inversement proportionnelle à sa densité de population", ça veut dire que plus c'est dense et moins la ville consomme? Ca m'étonne. Plutôt la consommation par habitant d'une ville est inversement proportionnelle à sa densité de population, les énergies partagées étant mieux réparties.
RépondreSupprimerJe pense que Gore mérite son prix Nobel. Pas pour une raison écologique mais philosophique : il a réintroduit la notion d'humanité, du groupe humain au sens large. Une simple image de la terre vue de l'espace pourrait résumer ma pensée : la terre est une bulle et nous sommes tous dedans. A notre échelle individuelle l'écologie peut être perçue comme du confort, à l'échelle de l'humanité, de la planète, c'est bien plus que cela. Rouler en vélo à Paris ça peut faire rire quand on pense à la Chine et l'Inde (inutile de parler des autres)qui explose en croissance, en production, en consommation... et qui vont à elles seules dégager plus de Co2 en 25 ans que nos petits pays en 100 ans (au pifomètre!). En résumé je préfèrerais des solutions plutôt que des taxes et encore des taxes. Je pense également que la demande en écologie va augmenter (peu importe si elle est fondée ou pas!)la prochaine révolution c'est peut être celle là! Avis aux entrepreneurs!
RépondreSupprimer"ça veut dire que plus c'est dense et moins la ville consomme? " Oui, ça parait assez logique : économie de transport, économie de climatisation (chaude et froide).
RépondreSupprimer"il a réintroduit la notion d'humanité" Je n'ai pas besoin des boniments d'Al Gore pour penser à l'humanité. L'expérience de discussions quotidiennes me montre même que j'y pense plus que beaucoup d'écolos.
"(...)les techniques modernes, du verre, de l'acier et du béton(...)"
RépondreSupprimerBin justement, j'en ai un peu marre de ces sempiternels matériaux.
Quelqu'un a entendu parlé de, par exemple, du bois ? J'aimerais beaucoup voir un peu plus de bois dans les constructions modernes... Et pas seulement à l'intérieur.
À vrai dire, je suis embêté parce que je n'en trouve pas d'autre... La fonte ? La céramique ? Hmm, un peu anecdotiques ceux-la...
Oui, bien sûr. Et puis, ce qui est pratique avec le bois, c'est que ça ne brule pas.
RépondreSupprimerLe verre, l'acier et le béton se sont imposés par leurs qualités (coûts, flexibilité, conformité aux normes, vieillissement, etc ...).
On peut employer d'autres matériaux, mais il y a souvent des inconvénients sur un ou plusieurs des critères cités.
J'adoooooore le coup du bois.
RépondreSupprimerJ'imagine déjà les gratte-ciel en bois, ça aura de la gueule! Souples, solides, inifugés, étanches, à l'abri des parasites...
Sinon, en fonte, ça serait pas mal non plus : Légers, flexibles, solides, tout ce qu'il faut.
Et en céramique! En voilà une idée! Un matériau abondant, pas cher, facile à usiner...
Des fois, ce serait bien de réfléchir avant de parler (ou d'écrire), ça éviterait de propager ce genre de fadaises.
Petit détail :
RépondreSupprimerLe bois redevient employé pour les charpentes de bâtiments d' une certaine importance (bois laminé collé). C' est souvent plus facile pour la mise en oeuvre de longues portées et plus esthétique.
Effectivement, pour une tour ? ...
Erick
Je vous signale le clocher et l'église de Honfleur, superbes, qui sont en bois, à mon souvenir, à cause du manque de pierres de taille et de la présence de charpentiers de marine.
RépondreSupprimerCeci étant dit, il y n'y a pas de structure de grande hauteur en bois (la décoration, c'est autre chose), pour de simples raisons techniques : le bois tient mieux en traction qu'en compression. L'utiliser en compression, comme c'est le cas losqu'il faut supporter 50 étages est tout simplement idiot, surtout que le béton lui est excellent en compression.
Les plus grandes constructions en bois sont des temples japonais, me semble-t-il, c'est joli, mais on n'y met pas 500 personnes.
Cette discussion est d'ailleurs sans intérêt puisque l'architecture moderne arrive très bien à séparer la structure (en acier ou en béton) du rendu (pierre agrafée, panneaux de bois, verre, brique, etc...)
Le lien avec la tour Cactus mis dans un des commentaires me paraît autrement inéressant : c'est la cohérence d'ensemble qui fait l'esthétique et la fonctionnalité d'un batiment, pas le matériau.
On peut faire des horreurs en béton ou en bois.
Quand les gens disent "Bouah, du béton !", ils montrent juste leur incompétence : il croient que les horreurs en béton qu'on a fait (et que certains continuent à faire) sont dues à un défaut intrinsèque du matériau béton.
L'Arche de la défense, le Grand Louvre, la Cité de la Musique ou le viaduc de Millau sont impossible sans béton.
Même si je préfère la combinaison du béton et d'acier.
Jean Nouvel a imaginé une tour sans fins, donc l'extrémité de plus en plus légère, ténue, disparaitrait dans le ciel et dont le pied, dissimulé dans une cuvette, ne se verrait pas de la surface.
Il est difficile de faire un pont laid parce que, par sa fonction, il est élancé et aérien. Mais j'ai un faible pour le pont Charles de Gaule, à Paris, qu'on ne voit pas beaucoup à cause du pont d'Austerlitz.
En parlant de matériaux, un truc rigolo sur l'architecture, c'est que depuis le début de l'humanité, dans toutes les civilisations, à toutes les époques, on n'a jamais utilisé que cinq matériaux pour l'ossature des constructions:
RépondreSupprimer1) La brique (et la terre, mais la brique n'est jamais que de la terre cuite). Le bâtiment le plus ancien connu de l'humanité était en brique. La brique est encore utilisée aujourd'hui. Ses qualités sont toujours remarquables.
2) Le bois. Même remarque. Le bois a été l'un des tout premiers matériaux utilisés pour bâtir des maisons, il est encore utilisé aujourd'hui.
3) La pierre. Elle a traversé les âges.
4) Le béton. Les Romains l'utilisaient déjà.
5) Le fer, le plus récent, rapidement remplacé par son dérivé, l'acier.
Ca calme.
Un peu HS, mais sur le wikipedia, dans la page de discution de l'article sur l'accident de Seveso, on écrit que le directeur d'usine s'est suicidé.
RépondreSupprimerOu est l'erreur ?
Historique des Brigades Rouges :
RépondreSupprimer"Le 5 février 1980, Prima Linea exécute un responsable d'Icmesa, une usine de Seveso responsable d'une grave pollution toxique."
Wikipedia : le suicide a été transformé en assassinat depuis votre visite ! Si vous vous fiez à Wikipedia, vous n'êtes pas sorti de l'auberge.
Il m'arrive de citer des articles de Wikipedia, mais, pour moi, c'est le début d'une recherche et non son aboutissement.
Wikipedia n'est pas mal pour les sujets non polémiques. Mais c'est une catastrophe dès qu'il s'agit d'y mêler un peu de politique, d'économie, ou même d'histoire, surtout lorsque le sujet traité concerne la gauche ou l'extrême gauche.
RépondreSupprimerAutant on pourra lire sans trop de problème qu'Hitler était une ordure, autant l'équivalent à propos de Castro, Mao, Lénine, Trosky, et même Staline ou Pol Pot est nettement plus rare.
"Autant on pourra lire sans trop de problème qu'Hitler était une ordure, autant l'équivalent à propos de Castro, Mao, Lénine, Trosky, et même Staline ou Pol Pot est nettement plus rare."
RépondreSupprimerQuoi, vous insinuez que les héros de ma jeunesse étaient des ordures ? :-)
Je m'interroge souvent de savoir pourquoi on tombe dans les idées fausses ou dans les idées bonnes. Il y a une part de hasard.
Quand j'étais jeune, je lisais Sartre, Camus, Malraux.
Un jour, j'ai lu l'article de Sartre à la mort de Camus du genre "On était fachés mais copains quand même." J'ai trouvé ça dégueulasse, hypocrite et tirant un mort à soi. Bref, j'avais compris Sartre.
N'est plus resté que Camus et Malraux.
De plus, une partie de ma famille étant dans le commerce (comme Margaret T. !), il aurait été difficile de m'expliquer que le libre-échange, c'est mal, puisque j'avais l'expérience du contraire, les uns se décarcassant pour servir les clients et ceux-ci payant ce qui nous servait à vivre dans un certain confort.
Vous comprenez pourquoi je n'ai jamais éprouvé le besoin irrépressible d'afficher Che Guevara dans ma chambre (j'étais plutôt orienté posters d'avions).
Néanmoins, j'aurais pu être de gauche genre bobo : on vit dans l'aisance, on culpabilise qu'il y ait des pauvres et on se fait pardonner l'argent dont on a honte en votant pour un parti qui créera plein d'impots (ce qui n'a aucun rapport avec le bonheur des pauvres).
Qui a dit : "Les bobos sont malades d'avoir de l'argent, ils se soignent en payant des impots" ? Le nom de ce philosophe m'échappe.
Je me demande si la citation précédente n'est pas de Churchill ou d'Orwell à propos des socialistes.
RépondreSupprimerJ'ai oublié de préciser sur Wikipedia : ce qui n'est pas polémique pour vous peut l'être pour un groupe motivé par le sujet. Wikipedia n'est pas fiable, c'est tout.