Guy Sorman, dit "le juste", pris la main dans le sac des dépenses publiques (bio de Wikipédia) : "Prises de position Guy Sorman défend dans ses ouvrages une politique libérale, passant par un État minimum." (...) "De 1995 à 1997, Guy Sorman a été le Président de la mission de Prospective auprès du premier ministre. Le ministre des Affaires étrangères lui a par ailleurs confié une mission de réflexion sur l'action culturelle de la France et l'a nommé en 1997, au Comité stratégique de l'action télévisuelle extérieure ; chargé de conseiller le gouvernement sur les grandes orientations de la politique extérieure en matière audiovisuelle." Il s'est également impliqué dans la politique au niveau local en étant maire adjoint de Boulogne-Billancourt depuis 1995, délégué à la culture." Que voulez-vous, c'est le mauvais exemple de Caccomo et Marseille !
Tiens, Franck, avez-vous lu le billet de M. Sorman sur la Chine? Je le trouve très juste...
RépondreSupprimerDésolé de m'écarter du sujet ;))
et où peut-on lire ce billet ?
RépondreSupprimerSur son blog qui se trouve ici.
RépondreSupprimermerci Erdav !
RépondreSupprimerBoizours vient t'battre avec Ecrasmerd !..
RépondreSupprimerMerci à vous erdav de réparer mon oubli.
RépondreSupprimerUn petit livre plaisant à lire sur la chine :
RépondreSupprimerPlanète chinoise de François Hauter (grand reporter au Figaro).
Un road-book pour la plage. Aucune prétention scientifique, ni historique, ni économique, juste quelques faits et impressions.
De la même veine que le "Voyage au pays du coton" d'Orsenna.
Faites vous plaisir.
Guy Sorman, dit "le juste", pris la main dans le sac des dépenses publiques (bio de Wikipédia) :
RépondreSupprimer"Prises de position
Guy Sorman défend dans ses ouvrages une politique libérale, passant par un État minimum."
(...)
"De 1995 à 1997, Guy Sorman a été le Président de la mission de Prospective auprès du premier ministre. Le ministre des Affaires étrangères lui a par ailleurs confié une mission de réflexion sur l'action culturelle de la France et l'a nommé en 1997, au Comité stratégique de l'action télévisuelle extérieure ; chargé de conseiller le gouvernement sur les grandes orientations de la politique extérieure en matière audiovisuelle."
Il s'est également impliqué dans la politique au niveau local en étant maire adjoint de Boulogne-Billancourt depuis 1995, délégué à la culture."
Que voulez-vous, c'est le mauvais exemple de Caccomo et Marseille !
Le "Comité stratégique de l'action télévisuelle extérieure" : on se croirait chez les Soviets !
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