Un sur le système même :
Fabra et le RSA
Un sur le financement :
Marseille et le RSA
Sarkozy nous avait promis la rupture, nous avons une parfaite continuité avec les trente dernières années de mal gouvernance.
C'est marrant cet acharnement des politiciens français à persévérer dans des politiques qui ne peuvent que mener à la banqueroute de l'Etat et à la ruine du pays.
En attendant, comme dit Charles Gave, la veille de son effondrement, l'URSS fonctionnait encore comme en 1917.
"En attendant, comme dit Charles Gave, la veille de son effondrement, l'URSS fonctionnait encore comme en 1917"
RépondreSupprimerCe qui est historiquement faux et logiquement absurde mais bon, est-on ici ailleurs que dans la "pensée magique" ? Bon, je vous fiche la paix : vous avez raison, nous ne nous convaincrons pas.
Une petite supplique tout de même : si vous voulez être crédible, ne citez pas Marseille le fonctionnaire de l'Education nationale le mieux payé à ne rien foutre ! Un vrai camaléon : tantôt stalinien tantôt libéral du moment que cela peut favoriser sa carrière. Vous avez décidément de bien mauvaises sources !
RépondreSupprimerSalut
RépondreSupprimerDis moi, où pourrais je trouver le document que tu avais posté il y a qques tps concernant le déclin de diffusion des médias papiers français et la hausse, à l'inverse, de celle des médias étrangers (comme le Herald) en France?
Je te serai reconnaissant si tu pouvais poster le lien vers ce très intéressant article.
@ Canut,
RépondreSupprimer« nous ne nous convaincrons pas ». Vous venez sur les blogs pour être convaincus ? Ou convaincre ? Je viens pour discuter.
D’ailleurs vous discréditez Marseille (mais vous ne le réfutez pas, et c’est bien dommage, ce serait plus intéressant) alors j’aimerais, en toute bonne foi, savoir quels auteurs il faut donc lire, se fier ou auxquels se référer, concernant l’économie et/ou la politique, puisque sur ces thèmes vous avez des certitudes aux antipodes des idées de Franck Boisard.
@ Canut
RépondreSupprimerVous faites erreur.
Quand on entre dans le détail, évidemment que le fonctionnement de l'URSS a changé au cours du temps.
Mais les principes qui présidaient à ce fonctionnement (la dictature d'une oligarchie,, le complotisme, la violence continuelle, etc ...) ont été remarquablement stables.
C'est qu'affirme avec raison Charles Gave.
Quant à J. Marseille, j'admettrais avec plus de facilité votre mépris si vous m'expliquiez en quoi il a tort.
@ French Wanderer
Pour l'instant, je n'ai pas la réponse à votre requête sous la main, mais je ne vous oublierai pas si je tombe dessus.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerDiscuter? mais de quoi? Comment le faire avec des personnes remplies de leurs certitudes absolues qui, de surcroît, récusent le pragmatisme et les faits...
RépondreSupprimerL'URSS était comme chacun sait une grande réussite... pour ceux qui jouaient le jeu et adoptaient la ligne du parti... un véritable petit paradis sur terre ;))
P.S. Désolé pour le commentaire précédent, mauvaise manip
1) sur l'URSS : on peut et on doit être hostile mais pas sans nuances. La seconde Guerre mondiale y a été une catastrophe sans précédent dans l'histoire. Etes-vous certain que les USa aient pu accéder au statut d'hyperpuissance avec un tel passif ?
RépondreSupprimer"La dictature d'une oligarchie,, le complotisme, la violence continuelle" peuvent s'appliquer à bon nombre de pays sur la planète, y compris aux mêmes USA, violence très différemment exercée bien sûr. Lisez une histoire des Etats-Unis dans l'entre-deux-guerres (Kaspi par ex.)vous y découvrirez une extraordinaire violation de tous les principes démocratiques.
2) Sur Marseille : j'ai du mal à accepter que le même individu puisse passer du stalinisme le plus dur au libéralisme sans discrédit. Imaginez un instant l'inverse : je suis sûr que vous appréciez... Marseille reste professeur des universités, fonctionnaire, en consacrant l'essentiel de son temps à produire des articles polémiques -où il crache sur le fonctionnariat- : que laisse-t-il à ses étudiants ? Je manque de temps pour réfuter ici point par point la plupart de ses arguments mais je vous donne un seul exemple convaincant : évoque-t-il un seul instant dans cet article les 65 milliards de subventions publiques aux entreprises versées sans la moindre contrepartie ou le montant des niches fiscales ? Ne pas le faire dans ce débat est tout simplement malhonnête. On peut condamnerle RMI, trouver les fonctionnaires trop nombreux mais ignorer délibérément un poids sur la balance, non.
Plus le temps passe et rien ne semblant être maitrisé (dette de l'état qui part allègrement vers le haut, perpétuel déficit budgétaire, balance commerciale qui part vers le bas, dévaluation impossible avec l'euro, paiement des "engagements" de retraites qui va venir sous peu ...) plus il me semble que nous allons naturellement vers une crise violente et courte comme en argentine en 2001. Remise des compteurs à zéro et on repart. Nos politiques ne se font peut-être plus gère d'illusion sur le final à entendre. En espérant qu'un sursaut soit encore possible.
RépondreSupprimerles 65 milliards de subventions publiques aux entreprises versées sans la moindre contrepartie
RépondreSupprimerDes fois je me demande si vous ne seriez pas Franck Boizard grimé en trublion pour faire rire ses lecteurs.
En tout cas ça marche !
Je ne sais pas si le montant total des subventions publiques aux entreprises versées sans la moindre contrepartie atteint 65 milliards d'euros, mais ce qui est clair, c'est que l'Etat file environ au moins 15 milliards d'euros chaque année aux entreprises en contrepartie des 35h, 35h qui n'ont pas apporté grand chose. Je m'explique.
RépondreSupprimerEn gros, j'estime que l'Etat s'est fait couillonner par les entreprises sur les 35h. Evidemment, les entreprises ne le disent pas. Pas plus que la Gauche qui ne veut pas se tirer une balle dans le pied en suggérant qu'ils se font fait couillonner sur les 35h. Ils se sont fait couillonner car les entreprises ont principalement anticipé les embauches pour faire plaisir à la Gauche et empocher les aides ; principalement anticipé les embauches et pas vraiment créé de nouveaux emplois.
Résultat, aujourd'hui, un des principaux freins à la suppression des 35h par la Droite, ce sont... les entreprises (d'après ce que j'ai pu en lire dans la presse) ! Entreprises qui devraient se passer de ces 15 milliards d'aide si les 35h disparaissaient.
Comme quoi, la séparation Gauche/Droite en matière d'économie n'est pas très claire du fait des non-dits qui ne sont qu'effleurés dans la presse.
Au moment de l'instauration des 35 heures, je travaillais dans une PME de moyenne importance. La réaction du PDG fut celle d'un enfant le soir de Noël: il ne pouvait croire le cadeau que l'Etat lui faisait. Il s'est précipité pour instaurer les 35 heures dans son entreprise, afin de bénéficier des aides.
RépondreSupprimerBien entendu, cela n'a nullement été présenté ainsi aux salariés...
Revenons à quelques fondamentaux :
RépondreSupprimer> l'économie libre, c'est-à-dire, privée, a vocation, par ses mécanismes, à créer de la richesse. C'est bien ce qu'on constate sur une période longue.
> les organismes étatiques, contrairement à l'économie libre, ne sont pas organisés pour optimiser l'utilisation de leurs ressources. Ce sont fondamentalement des foyers de gaspillage. Par contre, ils peuvent remplir des certaines missions, généralement les missions dites régaliennes, mieux que le privé.
Tout est dans l'équilibre entre les deux : le privé crée de la richesse, le public en détruit mais remplit certaines missions.
De cela, il découle naturellement que, si le public dépasse ses missions, c'est-à-dire remplit des missions qui pourraient être remplies par l'économie libre, il détruit inutilement des richesses.
C'est évidemment la situation dans laquelle nous sommes en France depuis trente ans.
Les 35 h, entrent exactement dans ce schéma où l'Etat se mêle de ce qui ne le regarde pas et détruit de la richesse.
Après, que les entreprises arrivent à tirer profit de cette situation n'est qu'une illustration de «Les Français sont très forts : ils survivent à leur Etat.»
@ "épicier vénéneux" : je suis ravi qu'un très officiel rapport de l'IGF remis au Sénat, disponible en ligne sur le site des rapports officiels vous fasse croire à une blague !
RépondreSupprimerEn fait de blague, Franck Boizard est indépassable et sous sa vraie signature, par exemple lorsqu'il écrit :
"De cela, il découle naturellement que, si le public dépasse ses missions, c'est-à-dire remplit des missions qui pourraient être remplies par l'économie libre, il détruit inutilement des richesses."
Au moment même où aux Etats-Unis, Terre promise du libéralisme, le bon gouvernement fédéral vient d'injecter 200 milliards de fonds publics pour sauver les meubles. Et Wall Street d'approuver cette nationalisation bancaire par un rebond spectaculaire.
On est toujours trahi par les siens !
Revenons de quelques fondamentaux au seul fondamental : sans Mama-state l'économie capitaliste s'effondre, dans son temple comme ailleurs.
RépondreSupprimerCanut, au risque de me répéter pour la énième fois et de reprendre ce que plusieurs autres ont déjà dit au sujet de ces 65 milliards : personne ici ne conteste que l'Etat reverse sagement cette énorme somme aux entreprises, et je suis persuadé que, comme vous, les lecteurs de ce blog sont en majorité contre ce cadeau.
RépondreSupprimerEn revanche, nous sommes également contre le prélèvement de cette somme ! Si encore on taxait les entreprises pour reverser aux organismes sociaux... mais non, on taxe les entreprises pour reverser aux entreprises, en perdant dans la manoeuvre les fonds nécessaires aux frais de fonctionnement de l'organisme qui ponctionne.
C'est s-t-u-p-i-d-e : mieux vaudrait ne pas prélever ces 65 milliards.
Votre point de vue étant qu'il faut prélever cet argent pour en faire autre chose qu'aider les entreprises, ce qui s'apparente au rackett de ces dernières, car l'impôt est bel et bien un vol, certes consenti dans l'intérêt du plus grand nombre (même par les libéraux).
Pour ce qui est du sauvetage du capitalisme bancaire (et non du libéralisme), il est important de bien saisir qui sont les acteurs et quels sont leurs rôles ; cela prévient tout amalgame, tout raccourci, toute inexactitude, bref toute escroquerie intellectuelle.
Vous confondez Gouvernement Fédéral et Réserve fédérale : les deux sont totalement indépendants, et heureusement, comme le sont le gouvernement français et la BCE (je pense que les atermoiements de Sarkozy nous mettront d'accord sur ce point).
L'argent de la Fed n'est pas un fonds public : c'est une... réserve. Le gouvernement fédéral ne peut absolument pas taper dedans pour nationaliser quoi que ce soit : ce n'est pas une Caisse des dépôts.
Epicier vénéneux dit :
RépondreSupprimer"l'impôt est bel et bien un vol, certes consenti dans l'intérêt du plus grand nombre (même par les libéraux)."
C'est un contresens fondamental : l'impôt versé par les riches est une cotisation d'assurance volontaire. Il leur permet de maintenir le lien social en évitant que l'on s'en prenne à leurs biens et à leur personne. Dans l'Antiquité, il était même spontané sous le nom d'évergétisme.
"L'argent de la Fed n'est pas un fonds public : c'est une... réserve. Le gouvernement fédéral ne peut absolument pas taper dedans pour nationaliser quoi que ce soit : ce n'est pas une Caisse des dépôts."
Là vous jouez sur les mots ! Qui a abondé les caisses de la FED ? Pourquoi s'appelle-t-elle Réserve Fédérale ? Est-ce une banque privée ? C'est d'ailleurs son président qui a lâché le terme "nationalisation cachée" !
Cette décision prouve en tout cas, s'il le fallait vraiment, l'inanité des théories libérales d'auto-régulation de l'économie.
Rectification : il s'agit d'un ancien président de la Fed (ce courage m'étonnait aussi !).
RépondreSupprimerSur l'indépendance très relative dela FED et la régulation des marchés, un article inattaquable vu la source :
RépondreSupprimerhttp://www.america.gov/st/washfile-french/2008/April/20080416165913aikceinawZ0.5340082.html
C'est l'engrenage que je qualifie d'échec de la civilisation.
RépondreSupprimerPlus on développe son raisonnement personnel pour pouvoir l'aiguiser, plus on a besoin de mots précis se référant à des concepts bien définis pour exposer ses raisonnements aux autres et être certain qu'ils voient ce que l'on veut dire.
Malheureusement, plus on utilise des mots ayant une définition bien précise, moins les gens les comprennent et vous comprennent.
Donc plus on fait d'efforts lexicaux pour exposer un raisonnement complexe de manière à être compris, moins on est compris.
Canut, je ne joue pas sur les mots, c'est vous qui le faites... je ne sais pas, moi, tapez Federal Reserve ou BCE sur Google, il y aura bien un site qui vous expliquera la différence entre "l'Etat nationalise la production de charbon" et "la Fed/BCE injecte 200 milliards de dollars dans l'économie".
Vous verrez que ça n'a absolument RIEN à voir avec ce que nous appelons nationalisation, n'en déplaise à Ben Bernanke.
Vous poussez le vice très loin, Canut ; vous rendez-vous bien compte que votre lien mène vers une page qui soutient mon propos et non le vôtre ?
RépondreSupprimerCar l'une des missions des banques centrales est justement la régulation des marchés, dans certaines limites : valeur et rareté de l'argent, maîtrise de l'inflation, etc.
Ces tâches ne peuvent évidemment pas être remplies par l'Etat, fût-il américain, puisqu'il serait alors juge et partie !
"Vous poussez le vice très loin, Canut ; vous rendez-vous bien compte que votre lien mène vers une page qui soutient mon propos et non le vôtre ?"
RépondreSupprimerALORS POUR LEVER TOUTE AMBIGUITE :
"C'est un sauvetage public historique pour un pays aussi libéral et darwinien que les Etats-Unis, en particulier sous administration républicaine. Celui de deux sociétés « trop grandes pour faire faillite » qui ont à leur tour succombé à la crise des « subprimes ». Pour le président Bush, les deux agences semi-publiques de financement du crédit immobilier américain, Fannie Mae et Freddie Mac, « représentaient un risque inacceptable » pour le système financier et l'économie des Etats-Unis. Le secrétaire au Trésor, Henry Paulson, a annoncé hier le plan de sauvetage des deux organismes cotés en Bourse qui assurent ou garantissent près de 5.300 milliards de dollars de prêts immobiliers, soit 40 % environ de l'encours de crédit immobilier américain. « Il est temps de passer à l'action. Nous l'avons fait en ayant trois objectifs à coeur : apporter de la stabilité aux marchés financiers, continuer à rendre le financement pour les crédits immobiliers accessible et protéger le contribuable », a-t-il déclaré.
Fannie Mae et Freddie Mac vont être placés sous la tutelle (« conservatorship ») du nouveau régulateur du refinancement hypothécaire (FHFA), ce qui signifie qu'elles pourront continuer à fonctionner normalement. Le Trésor est prêt à investir jusqu'à 100 milliards de dollars d'actions préférentielles senior dans chacune des sociétés. Il va dans un premier temps investir 1 milliard de dollars pour acheter sur le marché des actions préférentielles avec un coupon à 10 % pour chacune des deux firmes. Il dispose de warrants qui peuvent lui donner à terme 79,9 % du capital dans chaque cas. « Ce sont des mesures nécessaires pour renforcer le marché immobilier américain et promouvoir la stabilité sur nos marchés financiers », a commenté Ben Bernanke, président de la Réserve fédérale."
LES ECHOS
ETC
Vous voyez que le débat sur la Fed -que nous pouvons reprendre- était sans objet puisque c'est le Trésor qui est intervenu directement sur fonds publics -comme je vous le disais précedemment- "pour protéger le contribuable" !
RépondreSupprimer"L'impôt versé par les riches est une cotisation d'assurance volontaire. Il leur permet de maintenir le lien social en évitant que l'on s'en prenne à leurs biens et à leur personne." (Canut)
RépondreSupprimerVous voudriez démontrer que les socialistes sont des bandits que vous ne vous y prendriez pas autrement. Pour justifier votre vision socialiste de l'impôt, vous menacez ceux qui ne le paieraient pas d'être cambriolés et agressés!
En écrivant cela, vous démontrez que vous êtes un voyou, tout simplement. Un mafieux. Vous approuvez en effet le cambriolage et l'agression de ceux qui ne payent pas leur tribut.
Mais vous, vous n'y êtes pour rien, naturellement. Ce n'est pas vous qui agressez, qui cambriolez. Vous ne faites pas le sale boulot. Vous laissez ça aux exécuteurs des basses oeuvres du socialisme, au lumpenprolétariat immigré, que vous encouragez par des tirades criminelles de cet acabit.
Non seulement vous êtes un voyou, mais vous êtes un voyou sans honneur (ce qui est un peu un pléonasme). Car vous ne tenez mêmes pas votre parole de malfaiteur. En effet, il est aisé de constater que le fait que les "riches" paient l'impôt ne les empêche nullement de se faire cambrioler et agresser.
La prochaine fois que vous vous ferez agresser à dix contre un par une bande de racailles, montrez-leur donc votre feuille d'impôts, excipez des belles bibliothèques (régulièrement brûlées) qu'elle permet de bâtir dans les cités, des allocations familiales, des transports gratuits pour les érémistes, des HLM à loyer subventionné, de l'école gratuite, des hôpitaux à l'oeil, etc, etc.
Je suis absolument certain que les racailles se répandront en excuses devant leur erreur, et vous offriront quelques portables et barrettes de shit pour se faire pardonner. Je prend les paris.
Tout cela ne suffit pas à épuiser l'insondable stupidité de votre phrase. Mais comme il reste encore un peu d'ordure à vidanger, allons-y: "L'impôt versé par les riches est une cotisation d'assurance volontaire".
Faut vraiment prendre les gens pour des cons pour écrire un truc pareil. Où avez-vous vu que l'impôt était "volontaire"? Et où avez-vous trouvé que seuls les "riches" payaient l'impôt?
Non seulement quelqu'un qui paye la première tranche de l'impôt sur le revenu en France est loin, très loin d'être riche; mais même si vous êtes pauvre, voire miséreux, vous êtes assommé d'impôts: la TVA, les taxes locales, la CSG, la CRDS et ses petits frères, les cotisations sociales, les taxes sur l'essence et le tabac, tout cela n'est nullement "volontaire"; c'est bel et bien un "impôt", que cela en porte le nom ou pas.
L'indulgence envers ce genre de réflexions, ça commence à bien faire. Parader sur les podiums de l'opinion publique en exhibant sa prétendue générosité, son prétendu humanisme, sa prétendue sollicitude pour les pauvres, tout en menaçant autrui de violence physique, ça suffit.
C'est avec des prises de position de ce genre, mille fois répétées sur tous les tons, que l'on ruine les Français et que l'on déchaîne une criminalité bien réelle.
Le commentaire de Canut sur les évergètes est partiellement faux : les premiers "bienfaiteurs" des cités n'étaient pas leurs citoyens les plus riches mais les rois, remplacés ensuite par les Romains. Certes, des citoyens très riches participaient sur leurs biens à l'embellissement et la vie de leur cité mais ils se démerdaient souvent pour faire payer les rois auprès desquels ils avaient du crédit.
RépondreSupprimerPour les 200 milliards injectés par l'Etat américain, ça va se payer très cher avec de l'inflation.
@canut : j'ai une question à un carambar pour vous. Qui paie le plus d'impôts en France ou ailleurs ? J'ai trouvé cet après-midi la réponse, qui est surprenante. J'attends la votre.