J'avoue que je suis peu touché par le climat actuel d'hystérie. L'hystérie semble être le mode habituel de communication des journalistes modernes(1).
Cela glisse sur moi. C'est peut-être une inconséquence de ma part.
Pourtant, je crois avoir de solides notions de ce que fut la crise des années 30, j'oserais même dire avec quelque prétention, plus que beaucoup de journalistes qui en parlent tant et plus.
L'économie se remettra. Ma seule véritable crainte, ce sont les folies politiques qui pourraient arriver avant cette reprise.
Les années 30 ne furent pas avares en politiques délirantes, du New Deal au nazisme.
(1) : «hystérie» ayant la même racine que «uterus», cela pourrait être vécu comme une preuve supplémentaire de la maternalisation de notre société.
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