Je suis désolé, cet article est en Anglais :
An Evolutionnary Stable Strategy
L'immuabilité de l'Islam repose sur trois piliers :
1) Toutes les instructions sont dans un livre. Rien n'existe en dehors de ce livre.
2) Tous ceux qui adoptent ce livre ne peuvent plus le quitter sous peine de mort. Ils doivent vivre, se marier et faire des enfants entre eux.
3) Tous ceux qui n'adoptent pas ce livre doivent être soit convertis soit combattus.
A partir là, il n'est pas difficile de comprendre que :
1) La violence est inhérente à l'Islam, elle en est un composant fondamental.
2) L'Islam ne change pas, n'évolue pas, ne s'adapte pas. Il se perpétue, car ses principes sont d'une extraordinaire efficacité sur ce point.
L'illusion que les musulmans pourraient s'intégrer à l'Occident est une fable, ils viennent avec leur culture, la gardent et tentent de nous l'imposer. On le voit tous les jours.
La seule manière pour un musulman de s'intégrer, c'est de ne plus être musulman, et c'est la peine de mort, ou de faire en sorte que ça ne soit pas lui qui change mais la société d'accueil. Son choix est tout tracé.
Par conséquent, le nôtre aussi : refuser, résister, se battre.
Cependant la remarquable stabilité de l'Islam est aussi son principal défaut : il n'a aucune capacité d'adaptation.
C'est pourquoi il vit en parasite : il a besoin d'un en-dehors de l'Islam qui, lui, s'adapte au monde et lui permet de ne pas avoir besoin de s'adapter, grâce à l'exploitation de cet en-dehors.
Cet aspect fondamental explique la persistance des dhimmis (juif ou chrétiens) et de l'esclavage en terre d'Islam. L'esclavage n'est pas contingent, il est nécessaire.
Comme tout parasite, l'Islam meurt avec son hôte. Comme les sauterelles, une fois que les musulmans auront transformé la France en Algérie, ils immigreront ailleurs, vers des terres qu'ils n'ont pas encore dévastées.
La stratégie face à cela ? Elle est simple : la rigueur. Les musulmans font ce qu'ils veulent chez eux. Mais chez nous, c'est chez nous. Ils se comportent comme des hôtes bien élevés ou ils sont expulsés.
A religion rude et ne respectant que la force, attitude rude et forte. On en est loin, c'est pourquoi nous ne sommes pas dans un jeu d'égal à égal, mais dans une lente (enfin, pas si lente) et inexorable soumission.
Cependant, tout n'est pas perdu. L'Islam condamne les sociétés qu'il conquiert à la pauvreté, à la misère et à l'obscurantisme. On peut espérer que tous les Français de souche n'y soient pas indifférents.
J'ai bien peur que vous ayez raison. J'ai eu la chance de bénéficier d'un cours remarquable sur l'Islam, il y a de cela quelques années, complété par des lectures personnelles et j'en étais arrivé à des conclusions similaires sur les sous-entendus du Coran. Je crois que beaucoup de personnes oublient ou refusent de voir cette dimension intrinsèque à l'Islam. Celle-ci, à tort ou à raison, se considère comme la troisième et dernière religion révélée. Donc, après elle et hors d'elle, point de salut.
RépondreSupprimerDans la ville où j'habite, capitale régionale, une mosquée est actuellement en construction. La municipalité (de gauche) a accepté que le minaret fasse 26 mètres de haut. Je crois qu'elle a fait une erreur manifeste car c'est là une faiblesse qui va être immanquablement exploitée. Bien sûr, pour le moment, la main sur le cœur, il n'est pas question qu'un muezzine en lance des appels à la prière. Je doute fort que cela dure très longtemps. Un prêtre de mes relations, avec qui je m'en entretenais, arrivait à des conclusions identiques. Nos conversations m'ont indiqué qu'il prenait pleinement en compte cette menace qui vise, ni plus ni moins, qu'à nous convertir à ce système de valeurs rétrogrades. Je suis cependant certain que beaucoup de musulmans sont plutôt modérés mais, compte tenu de ce que dit le livre, ils sont amenés immanquablement à rejoindre des positions plus extrémistes.
Il est déplorable, pour ne pas dire plus, que la majorité de nos politiques refusent d'accepter notre héritage chrétien (cf 2005 et la constitution européenne) et que la fameuse laïcité à la française se résume de plus en plus, voire exclusivement, à un anticatholicisme des plus primaire. Si j'étais cynique, je dirai que la grande chance de l'Occident en la matière réside dans la haine inexpugnable qui existe entre chiites et sunnites. Elle est tellement énorme qu'elle est à elle seule la principale arme dont nous disposons pour lutter efficacement contre l'expansion de cette religion. A nous d'en user avec discernement. Dans l'autre sens, la bêtise et la haine de soi qui caractérise la frange progressiste de nos sociétés est un atout important dans le jeu adverse.
Pour info, la ville où je réside était surnommée autrefois "la ville aux cents clochers". J'espère vivement que le dernier mot ne changera pas.
Rouen ?
RépondreSupprimerNon, désolé.
RépondreSupprimerDijon ? Caen ? Poitier ? Troyes ?
RépondreSupprimerToulouse, puisque une mosquée est en contruction à Empalot et que la municipalité est de gauche
RépondreSupprimer"Je suis cependant certain que beaucoup de musulmans sont plutôt modérés"
Pourquoi ne les voit-on jamais manifester quand certains des leurs se font massacrer par d'autres musulmans comme c'est le cas en Irak ou comme ce fut le cas en Algérie avec environ 100 000 morts ?
Le fait que certains soient modérérés peut s'expliquer par le fait que c'est une religion minoritaire. Donnez-lui le pouvoir et vous verrez que cette modération c'est du pipo.
Une solution serait de créer une association de protection des apostats. L'islam, c'est comme Berlin-Est : abattez le mur, et les Est-Berlinois migrent à l'Ouest.
RépondreSupprimer@ maître des lieux
RépondreSupprimerVous brûlez mais je n'irai pas pu loin.
@Théo2Toulouse
Si vous m'avez bien lu (et surtout la suite de votre extrait), vous devez comprendre facilement pourquoi la modération en matière d'Islam est difficile à vivre et à mettre en œuvre.
Bonjour à vous
RépondreSupprimerTout ceci ne sont que de honteuse affabulations.
Sur mon site, vous trouverez beaucoup de réponses à vos préjugés et amalgames sur l'Islam, qui est une foi, évolutive dynamique, rationnelle, qui se fonde sur l'exigence de rationalité, et l'effort d'élaboration. L'islam n'a rien a voir avec l'idée d'une religion figée ou archaïque parce que puisée dans des sources scripturaire.
L'islam s'adapte partout, et le musulman et la musulmane intègre sa morale religieuse en totale conformité avec les lois de la république française.
Les codes et lois française dans leur globalité sont en total conformité avec les fondements religieux islamiques et la chari'a (divorce, liberté d'expression, droit à l'avortement, protection des plus faibles, sécurité social ...)
Ne vous laissez pas aveuglés, par les croyants niais et les savants agités qui pourrissent les pays à forte population musulmane, qui salissent l'image de cette foi, et l'ont rendu repoussante aux yeux des personnes éduquées.
Faites bien la distinction entre l'islam et ses adeptes.
Car nombres d'entre eux ont creusé le fossé qui nous sépare aujourd'hui.
Nous sommes en France beaucoup d musulmans qui travaillent à la construction d'un pont de réunification et de rapprochement, Parce qu' aujourd'hui nous nous sommes éloignés, ou nous croyons être éloignées dés lors que nous sommes proches et frères et soeurs en humanité.
Laura Asma
www.ouktiasma.com
Ah cher Franck, vous voilà enfonçant des portes ouvertes. L'Islam a été crée de toutes pièces pour la conquête arabe. Il a emprunté à gauche (la bible) et à droite (le talmud) pour faire un truc simple et efficace. L'évolution de l'Islam en dehors des pays arabes est à observer de près (Indonésie, Malaisie,.... et surtout Iran).
RépondreSupprimerDans les pays asiatiques, derrière l'aspect religieux c'est bien l'aspect ethnique qui prévaut et qui se recoupe avec la religion.
L'Iran sera le premier pays à mettre l'Islam au placard (ça va prendre du temps) car ils ne sont pas arabes et ont un sentiment national très fort. Enfin, c'est un pari. On peut garder un peu d'optimisme ce qui n'empêche pas la rigueur en notre pays.
La vache, c'est de moins en moins libéral chez LHC et de plus en plus réac.
RépondreSupprimerL'Islam n'est pas violent. Il est ce qu'en font les individus, comme toutes les religions, c'est tout.
«L'Islam n'est pas violent. Il est ce qu'en font les individus, comme toutes les religions, c'est tout.»
RépondreSupprimerPétition de principe que rien n'étaye. Propos creux. Bruit avec la bouche (enfin, avec le clavier).
Oui. Le texte de référence est violent et en plus inattaquable car c'est la parole de Dieu, donc on ne peut pas le mettre en question.
RépondreSupprimerComment expliquer sinon que les autres communautés non musulmanes ont été systématiquement persécutées dès lors que les musulmans ont été majoritaires ?
@ Pierre Robes-Roule : non, ils ne sont pas arabes mais ils ont les croyances du "Livre"; on en reparle dans 100 ans?
@ L'hérétique : non, si les références dans lesquelles vous êtes élevés sont violentes, comment pouvez-vous devenir un sage ?
Il ne faut rien céder sur la laïcité stricte.
@ fboizard
RépondreSupprimerNon, évidence par laquelle il faut commencer avant tout jugement imprudent sur la nature d'une religion.
@ l'Hérétique : la nature, c'est une chose et on peut en discuter dans tous les sens (littéral, spirituel, etc.). Dans la Bible on trouve des passages violents aussi. J'ai été voir (rapidement) le site de Laura Asma : on y trouve effectivement une vision intéressante. Mais le problème c'est qu'il semble que cette position soit très minoritaire, surtout dans les pays musulmans. Alors que faire ? revenir aux fondamentaux : un état strictement laïque.
RépondreSupprimerOn voit que vous ne fréquentez pas, ou très peu, de musulmans. Votre épicier arabe a-t-il déjà tenté de vous convertir ?
RépondreSupprimerSi les religions étaient ce que les hommes en font et seulement cela, elles se vaudraient toutes, n'auraient pas de caractéristiques propres, mais seulement celles que les hommes qui les pratiquent leur donnent.
RépondreSupprimerJe n'ai pas le temps de développer, mais c'est douteux.
D'ailleurs, l'argument est de peu de poids. Je ne crois pas que l'islam changera (a-t-il beaucoup changé en 1400 ans ?) mais, même si il changeait, je persiste à dire qu'il est très stable. Le changement ne pourrait être que lent.
Donc, à notre échelle de temps (puisque mon problème, ce sont les immigrés d'aujourd'hui et leur conséquence sur la France de demain), soit trois ou quatre générations, l'Islam est violent et ne changera pas. Si on laisse les immigrés en faire à leur guise, ils auront transformé la France en république islamique du tiers-monde avant 2100.
«On voit que vous ne fréquentez pas, ou très peu, de musulmans.»
C'est celâââ, oui. Puisqu'on en est aux hypothèses hasardeuses les uns sur les autres, je peux en tenter une : vous fréquentez beaucoup de musulmans et vous êtes déjà soumis.
«Votre épicier arabe a-t-il déjà tenté de vous convertir ?»
Etes vous sérieux ? Les choses ne se font pas aussi bêtement, mais allez dans une école «diverse» et demandez aux petits garçons blancs pourquoi ils font le ramadan.
" Ils doivent vivre, se marier et faire des enfants entre eux."
RépondreSupprimerPas exactement : Mahomet, l'exemple de tous les musulmans avait, entre autre, des femmes non musulmanes comme épouses.
Les musulmans peuvent donc prendre des femmes athées ou d’autres religions. Les enfants de ces femmes sont naturellement musulmans puisque la religion se transmet de père à enfants et bien souvent ces femmes se convertissent. C'est donc toujours l'islam qui est transmis comme culture/religion et le bagage culturel de la femme est tout simplement effacé (comme cela a été le cas chez Tarik Ramadan - un musulman "modéré").
L'islam est bien un système expansionniste, intolérant et hégémonique. Il soumet nos femmes et leur descendance ce qui ampute naturellement l'avenir de notre civilisation pour être mis à son service. Et lorsqu’on sait qu’un musulman peut avoir jusqu’à 4 épouses et que ces femmes sont bien souvent mères de famille nombreuse, on ne peut que craindre pour l’avenir de l’Europe.
Dans ce cadre, cet effet boule de neige peut sonner le glas de toute une civilisation. Les musulmans disent eux-mêmes que c’est le temps qui leur donnera raison.
A contrario, un homme non musulman ne peut pas se marier avec une musulmane sans se convertir : toujours pour la même raison, c’est-à-dire garder les enfants dans le giron de l’islam.
C'est très représentatif de cette pseudo tolérance inhérente à l’islam dont on nous parle tant.
1974, Houari Boumedienne alors président algérien, déclarait dans un discours à l'ONU :
"Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère sud pour aller dans l'hémisphère nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire".
je suis d'accord avec l'hérétique, Franck vous virez réac-conservateur....comme moi.
RépondreSupprimerQuelquefois, il faut sauver les meubles.
RépondreSupprimerL'Hérétique est très peu hérétique : au contraire, il répète bien sagement le catéchisme immigrationiste, bien-pensant, multiculturaliste.
salut,
RépondreSupprimerPourquoi "français de souche" ? Français tout court aurait largement suffit et aurait été beaucoup plus juste.
Sur le reste, je suis assez d'accord.
@ L'hérétique : les musulmans pacifiques, non violents, sont légions en france, ce sont même la majorité. Le problème c'est qu'ils sont simplement de mauvais musulmans. L'islam est violent, dans ses fondements ; les musulmans non, fort heureusement. Il y a encore beaucoup d'humains capables d'aller à l'encontre des idéologies mortifères dans lesquelles ils sont malheureusement nés. Il faudra bien une fois pour toute que tu arrives à dissocier la critique de l'islam, et celles des musulmans. ON peut critiquer l'islam sans critiquer les personnes, du moins celles qui ne suivent pas aveuglément les préceptes violents et guerriers de l'islam.
L'exemple actuel du Kosovo laisse songeur.
RépondreSupprimerAprès des siècles de coexistence difficile, les tensions perdurent, et nous assistons actuellement à l'émergence d'un état islamique (construction de mosquées par des fonds saoudiens) en plein coeur de l'Europe avec une véritable épuration éthnique, une vraie, pas celle de la désinformation onusienne : l'exode des Serbes et l'incendie de leurs eglises orthodoxes.
Faites bien la distinction entre l'islam et ses adeptes.
RépondreSupprimerC'est bien ce qui gêne. Pour avoir lu une biographie de Mahomet rédigée par un musulman, la vie du prophète laisse aussi songeur pour ne pas dire plus (chef de guerre, massacre de tribus juives...).
Le seul acte violent de Jésus-Christ reste sa colère au Temple devant les marchands (pas même un blessé).
Alors religion de paix...mouais...
Mais le problème de fond de cette "religion de paix et d'amour" n'est-il pas simplement que c'est avant tout une idéologie qui vise à soumettre l'homme, à le transformer en esclave au profit d'une oligarchie? A partir du moment où toute critique est interdite, toute apostasie punie de mort, quelle part de choix, donc de liberté reste-t-il à l'humain? Et c'est d'ailleurs pour cette raison principale que le monde musulman est resté en quasi état de stase pendant des siècles après "son âge d'or".
RépondreSupprimerJe vous conseille une petit ouvrage d'un des plus grands penseurs français du XXè siècle, Jacques Ellul "Islam et judéo-christianisme", publié au PUF.
Tiens, voilà de quoi réjouir les esprits chagrins ;))
RépondreSupprimerpaix et amour
Faire la distinction entre une religion et ceux qui la pratiquent ?
RépondreSupprimerIndividuellement, dans mes relations quotidiennes, oui. Mais quand il s'agit de décider d'une politique d'immigration au niveau du pays, non.
C'est marrant. Je relis Les taxis de la Marne, de Jean Dutourd, écrit en 1956.
Il attribue justement une partie de la défaite de 1940 à une confusion des morales, privée et publique.
Pour un homme privé, être généreux et compatissant est une qualité.
Pour un général dans une heure de grand péril pour le pays, c'est une trahison.
Je crains que vous ne soyez victime de cette confusion (la confusion intellectuelle et l'exprit embrouillé sont les grandes caractéristiques de notre époque, vous êtes donc pardonnable).
Ce blog vire au racisme pur et dur ("blanc", "français de souche"). C'est mauvais pour l'image du réseau LHC.
RépondreSupprimer(oui je sais ce que vous allez dire : accusation de racisme = gauchisme)
J'ai une tête à être multiculturaliste, moi :-) Trop drôle :-D
RépondreSupprimer@ Bruno
Vous savez, les musulmans eux-mêmes divergent sur l'interprétation qu'il convient de donner aux différentes versions du Coran. Les Chiites, par exemple, ajoutent des passages que ne reconnaissent pas les Sunnites (d'où l'existence de l'imam caché pour eux, et le culte qu'ils vouent à Fatima et à Ali).
Pour ce qui est de la violence, je peux vous trouver aussi des passages particulièrement brutaux dans l'Ancien Testament ou bien chez les évangélisateurs.
L'Islam n'est pas violent : il y a dans l'Islam des gens violents, correctif, et dans certains pays, ils tiennent le haut du pavé.
Maintenant, mon épicier n'a jamais menacé d'égorger mes enfants, et deux des nounous sur quatre qui se sont occupées de mes enfants étaient musulmanes, ainsi que deux baby-sitters (des jeunes femmes magnifiques, au demeurant).
Figurez-vous qu'elles n'ont pas égorgé non plus mes enfants : incroyable, non ?
Paul,
RépondreSupprimerNon, au contraire, vous m'intéressez.
Développez votre accusation. Je suis curieux de savoir où vous allez aboutir.
Pour ce qui est de la violence, je peux vous trouver aussi des passages particulièrement brutaux dans l'Ancien Testament ou bien chez les évangélisateurs.
RépondreSupprimerL'Islam n'est pas violent : il y a dans l'Islam des gens violents, correctif, et dans certains pays, ils tiennent le haut du pavé.
Ceci est en totale contradiction avec ce que nous enseigne l'Histoire. L'Islam s'est propagé dans tout le bassin méditerranéen par le sabre que ce soit par le sud (conquête du Magrheb, puis de l'Espagne) ou par l'est (poussée ottomane).
L'Islam n'est pas violent.
Jésus-Christ n'a pas exterminé toute la population mâle d'une tribu juive. Lisez une biographie de Mahomet, c'est édifiant.
"L'Islam n'est pas violent : il y a dans l'Islam des gens violents, correctif, et dans certains pays, ils tiennent le haut du pavé"
RépondreSupprimerAmusant, j'ai déjà entendu et lu ça quelque part mais je ne parviens plus à me souvenir où...
Toujours le même relativisme, c'est un peu fatiguant à force ;))
"L'Islam n'est pas violent : il y a dans l'Islam des gens violents, correctif, et dans certains pays, ils tiennent le haut du pavé"
RépondreSupprimerAmusant, j'ai déjà entendu et lu ça quelque part mais je ne parviens plus à me souvenir où...
Toujours le même relativisme, c'est un peu fatiguant à force ;))
"L'islam est une religion d'amour et de tolérance mais si vous dites le contraire, nous vous tuereons".
RépondreSupprimerDaredevil a touché le fond du problème. L'islam est une religion de la soumission à un dieu. Il est donc incompatible avec la modernité qui repose sur l'autonomie et le libre-arbitre de l'individu.
Si les Européens sont si gentils avec les musulmans, c'est essentiellement à cause du pétrole (notez au passage que du temps de Bush, les USA n'étaient pas très sympas parce que beaucoup moins dépendants pour leur énergies fossiles, mais ça va changer radicalement avec le dhimmi Obama). Ca fait une bonne raison d'essayer de trouver rapidement une alternative énergétique à ce masochisme malsain.
Lomig,
RépondreSupprimerJe maintiens «Français de souche» à défaut de meilleure expression. Car le problème est qu'il y a des Français de papier depuis deux ou trois générations qui ne sont toujours pas de vrais Français.
Plutôt que «Français de souche», je devrais dire «vrai Français» : il y a des immigrés italiens de deuxième génération plus français que des immigrés maghrebins de troisième génération.
La notion est nécessairement floue : il est évidemment impossible de définir des critères précis définissant le «bon Français» (l'appétence pour l'andouillette de Troyes AAAAA ?). Mais il est tout aussi impossible de dire que les immigrés se valent et que tous sont également intégrés.
A ce propos, je suis en train de lire Not with a bang but with a whimper, une compilation d'articles de Theodore Dalrymple.
Il commence par un homme qui vient de se faire agresser (Dalrymple est médecin) qui lui explique que sa principale qualité est d'être «non-judgemental», en français, de ne pas porter de jugement sur les gens.
Dalrymple est horrifié qu'on puisse revendiquer cela comme une qualité. En effet, cela suppose, qu'on le veuille ou non, une philosophie considérant que tous les hommes se valent dans la médiocrité, qu'il n'y en a pas de meilleurs que d'autres. C'est profondément déprimant et misanthrope.
Je me sens autorisé à porter des jugements sur certains immigrés, sur certaines populations immigrés, sur la manière dont ils s'intègrent. La contrepartie est que j'accepte d'être à mon tour jugé et critiqué. La civilité et la politesse existent d'ailleurs pour permettre ces échanges de critiques sans pour autant qu'ils dégénèrent en conflit.
La contrepartie de porter un jugement est aussi que celui-ci peut être positif.
Paul,
Est-il raciste de dire que la France est une vieille nation blanche, de culture grecque, latine et chrétienne ?
C'est qu'il est «raciste» de dire des évidences.
Imaginez la réciproque : allez au Sénégal expliquer que le pays n'est pas noir. Je vous souhaite bien du plaisir.
J'attache très peu d'importance à la couleur de peau (il vous suffit de faire une recherche lexicographique sur ce blog) et beaucoup plus à la culture. Mais il ne me viendrait pas à l'idée pour autant de pousser l'aveuglement jusqu'à nier l'existences des races.
Il se trouve que la culture se transmet aussi de parents à enfants. Il y a donc un certains recoupements entre race et culture.
C'est pourquoi je n'éprouve aucune difficulté à considérer qu'un enfant blanc qui fait le ramamdan, c'est très probablement le résultat d'une agression et de pressions plus ou moins explicites.
En fait, l'accusation de racisme est le réflexe pavlovien (un mot suffit à le déclencher) de ceux qui nient que la France existe et mérite d'être défendue.
Il est vrai que si il n'y a pas de France, il n'y a pas besoin de s'y intégrer. Si il n'y a pas de Français, il n'y a pas d'étrangers. Si il n'y a pas de culture française, nulle culture ne peut entrer en conflit avec elle. Si il n'y a pas un mode de vie français, nul mode de de vie ne peut être contradictoire avec celui-ci.
Coriolan,
RépondreSupprimerLa notion d'ESS est empruntée à la biologie : elle décrit les conditions qui font qu'un organisme est stable et se défend contre les évolutions.
La transposition aux sociétés humaines et aux religions est utile, même si, comme d'habitude, comparaison n'est pas raison. Il se trouve que l'Islam correspond très bien aux critères d'ESS.
Cela n'est pas surprenant si on met les choses en perspctive historique : l'Islam s'est montré d'une remarquable stabilité et d'une grande imperméabilité à toute influence extérieure.
La violence de l'Islam est, aujourd'hui (qu'on ne me ressorte pas les croisades), une évidence.Je suis toujours surpris qu'on puisse le nier.
Mais ce n'est pas la fin du monde : à la force, on peut opposer la force, sévère mais juste (voire injuste, si nécessaire).
Quand on laisse pourrir une situation, quand on laisse croire à l'agresseur qu'il peut indéfiniment grappiller des avantages, gagner du terrain, l'animosité ne peut que dégénérer. Mais si on porte un coup d'arrêt clair, net, explicite, on tue les hostilités dans l'oeuf.
"Quand on laisse pourrir une situation, quand on laisse croire à l'agresseur qu'il peut indéfiniment grappiller des avantages, gagner du terrain, l'animosité ne peut que dégénérer. Mais si on porte un coup d'arrêt clair, net, explicite, on tue les hostilités dans l'oeuf"
RépondreSupprimerJe n'aurais pu mieux dire, Franck! Voilà le résumé le plus juste du problème auquel nous sommes et allons être de plus en plus confrontés... malheureusement! Car, à n'en pas douter, cela produira des débordements et de la violence, et, personnellement, je n'ai aucune envie d'assister à une "tchéchénisation" de mon pays à cause de personnes qui prétendent m'imposer des jugements de valeur et une loi (la charria) qui datent de plus de 1000 ans! Quand je vois un père qui égorge sa fille (nombreux exemples récents à travers toute l'europe) parce qu'elle refuse de se soumettre ou qu'elle s'habille et vit comme elle l'entend, tout cela au nom de cette fameuse "religion de paix et d'amour", j'ai envie de sortir mon révolver (comme aurait dit l'autre pour de tout autres raison bien sûr!) parce que ceci représente un retour en arrière manifeste et injustifiable!
Arrêtons de discuter à l'envi du sexe des anges et ouvrons les yeux sur le réel qui est tout sauf beau!
Non à un retour de quelque façon à l'obscurantisme et à l'esclavage!
«Je n'aurais pu mieux dire, Franck!»
RépondreSupprimerVous avez un enfant ? Ou un chien ?
Je le constate avec une enfant de deux ans. Quand elle sait qu'elle est avec des gens qui finissent par céder à ses brailleries, elle braille pour obtenir ce qu'elle veut (elle finit en général par réussir) et la tension monte (l'adulte qui se soumet au chantage ne peut pas s'empêcher de ressentir une tension de cette soumission illégitime).
Comme elle n'est pas bête, quand elle est avec des gens qui ne cèdent pas au chantage que constituent les brailleries, elle passe à autre chose et l'ambiance est beaucoup plus calme et sereine.
Ca ne vous rapelle pas des choses ?
Je m'explique alors. L'expression "français de souche" renvoie pour moi au racisme puisqu'on privilégie le droit du sang, on considère qu'on est français parce qu'on est fils de français. Or la conception française de l'identité nationale est anti-raciste : elle considère que toute personne peut être française si elle partage les valeurs de la république.
RépondreSupprimerVous avez en effet corrigé en "vrai français". Mais je déplore le "dérapage" (comme disent les médias cons) sur français de souche, expression qui a une connotation FN, voire pire.
De toute façon je suis pour une société multi-culturelle, et je ne pense pas que l'islam soit intrinsèquement violent. Mais je n'accuserait jamais la critique de l'islam de racisme, ce que je déplore, c'est par exemple la confrontation entre "blancs" et "arabes".
«on privilégie le droit du sang, on considère qu'on est français parce qu'on est fils de français.»
RépondreSupprimerC'est tout ce qu'il y a de plus naturel. Le droit du sol est une hérésie complète, surtout dans le monde moderne où le voyage est si facile.
Montesquieu le dit plus élégamment que moi : «le droit du sol est l'absurdité qui consiste à dire qu'un cheval est une vache parce qu'il est né dans une étable».
«expression qui a une connotation FN, voire pire» : amalgame qui me laisse de marbre. Peu importe d'où vient l'idée si elle est juste.
Le coup des zeureslesplussombresdenotrehistoire commence à être un peu usé.
Doit-on supprimer la fête des mères ? (Institutionnalisée par Vichy ?)
«je suis pour une société multi-culturelle, et je ne pense pas que l'islam soit intrinsèquement violent.»
Vous avez compris que je suis en complète opposition avec vous sur ces deux points.
La société multiculturelle est une utopie et, comme toutes les utopies, est extrêmement dangereuse.
Il est faux, et cette erreur a été maintes fois démontrée, d'affirmer que des hommes de races et de cultures différentes sont fait pour vivre ensemble.
Si vous laissez faire les hommes, ils se séparent ; si vous les forcez, ils s'entretuent.
C'est un fait d'expérience, il peut vous chagriner, mais c'est ainsi.
«ce que je déplore, c'est par exemple la confrontation entre "blancs" et "arabes".»
Cette confrontation existe de fait (si vous ne vivez pas dans les beaux quartiers, vous devez le savoir. c'est une expérience quotidienne).
De quoi vient-elle sinon qu'il y a trop d'immigrés et qu'en plus, on a été trop gentil ou trop lâche avec eux ?
Paul a dit :
RépondreSupprimerDe toute façon je suis pour une société multi-culturelle
Fernand Braudel avait tranché très justement à propos du multiculturel :
« S’il signifie que plusieurs cultures bavardent ensemble et échangent leurs biens, je suis en faveur du multicuturel. Mais s’il signifie une culture qui éclate dans toutes les directions pour donner satisfaction aux uns et aux autres, alors je suis contre ».
Braudel ? Connais pas. Il est passé à la Star AC ?
RépondreSupprimerNon ? Alors, il est pas cool. C'est un fachisse.
De toute façon je suis pour une société multi-culturelle
RépondreSupprimerKosovo,
Bosnie
1984 : « L’islam ne peut en aucun cas coexister avec d’autres religions dans le même Etat, sauf comme un expédient à court terme. Sur le long terme, par contre, après être devenue plus fort, dans un pays quel qu’il soit, les Musulmans ont le devoir de s’emparer du pouvoir et de créer un Etat authentiquement islamique».
1984 Alija Izetbegovic, ancien président de la Bosnie et pote de BHL
Liban
Chrétiens 55% de la population en 1932
- de 40% en 2006
Histoire ponctuée de massacres (les cèdres du Liban plantés au XIXème en France en sont les témoins).
Voir l'histoire de l'Inde et du Pakistan
Algérie (pourquoi cette société n'a-t-elle fonctionné alors que l'indépendance était acquise ?)
L'Histoire ne se répète jamais à l'identique mais elle nous enseigne l'extrême prudence.
Dans L'Identité de la France, Fernand Braudel dément d'ailleurs l'idée selon laquelle l'intégration des musulmans en France relèverait de la même logique que celle des orthodoxes, par exemple. Pour la bonne et simple raison que l'Islam est une civilisation en plus d'être une religion, tandis que l'orthodoxie est une religion. Bien sûr, il prenait un exemple chrétien, mais il eût pu dire la même chose du bouddhisme ou d'autres confessions.
RépondreSupprimerhttp://www.canalacademie.com/L-Islam-en-France.html
RépondreSupprimer"1984 Alija Izetbegovic, ancien président de la Bosnie et pote de BHL"
Accessoirement recruteur de soldats pour les SS et ancien intégriste islamiste notoire.
Je conseille aussi la lecture du livre de René Guitton ("Ces chrétiens qu'on assassine")*.
RépondreSupprimerVaste panorama qui permet de s'apercevoir que les minorités chrétiennes s'éteignent une à une dans le monde mulsulman y compris dans les pays arabes dits "avancés" (Turquie, Egypte)
* Petit rectificatif : les chrétiens ne sont actuellement pas plus de 35 % au Liban et la montée des chiites (Hezbollah) ne laisse rien présager d'encourageant.
Tous ces pays étaient pourtant chrétiens à l'origine (pourtour méditerranéen).
Alors la société multi-culturelle, c'est bon pour les naïfs, les idiots utiles, les ignares ou tout simplement ceux qui ne veulent pas voir les réalités en face...