Excellent article de Luc Rosenzweig, qui, depuis qu'il est retraité du journal Le Monde, se lâche de tout ce qu'il a du taire car contraire au bourrage de crâne de son employeur :
Yes, we can't
Je n'aurai pas pas pu écrire mieux, d'ailleurs, je soupçonne qu'il fréquente ce blog ou des blogs amis.
LR sur causeur nous livre un billet excellent mais incompréhensible pour le commun des mortels.
RépondreSupprimerAlors, je ne dois pas être le commun des mortels : j'ai compris !
RépondreSupprimerExcellent texte. Le journal "le Monde", parangon moderne de la bien-pensance et du politiquement absolument correcte, aurait-il étouffé son collaborateur quand celui-ci œuvrait à son profit?
RépondreSupprimerMais FB, nous sommes vous et moi, plus quelques autres, hors du commun.
RépondreSupprimerCette idée me transporte !
"On ne peut pas taxer les tâches solaires, les courants marins, les volcans, qui n’ont aucune compassion pour le sort des générations humaines à venir."
RépondreSupprimerBelle manière de rappeler que la taxe carbone ne taxera pas le carbone mais les hommes qui le produiront.
On dirait du Bastiat. Je suis ému.
“Sur Terre nous sommes libres de nos choix, mais jamais nous ne serons libres des conséquences de nos choix.” Claude Traks
RépondreSupprimerUne affaire purement mercantile et anxiogène vous dis-je.
RépondreSupprimerCe qui me sidèrera toujours, c'est qu'on n'est pas foutus de donner une température à deux chiffres après la virgule avec une marge d'erreur acceptable dans une cuve de 20L en utilisant du matos de premier ordre, mais qu'on puisse la prédire 50-100 ans à l'avance au dixième de degré près sur une planète entière.
RépondreSupprimerRien que ça, à mes yeux, devrait clore le débat.
«Rien que ça, à mes yeux, devrait clore le débat.»
RépondreSupprimerJ'ai eu le malheur sur le site de Causeur d'écrire qu'en étant rigoureux, en respectant les ordres de grandeur et en se fiant à son bon sens, il y avait moyen de se faire une idée.
Visiblement, je suis un abruti prétentieux qui n'a rien compris aux subtilités de la climatologie. Dont acte !
Mais cet argument est contradictoire : plus on nous raconte que la climatologie est une science d'arcanes réservée aux seuls spécialistes, plus on détruit la crédibilité des simplifications à usage politique.
Je ne sais pas ; beaucoup de gens s'imaginent que les politiques sont des surhommes vu qu'ils s'expriment sur tous les sujets et ce, depuis toujours.
RépondreSupprimerLe lundi ils votent une loi de bioéthique, le mardi HADOPI, le mercredi ils modifient un peu le code civil puis ils insultent le gouvernement, le jeudi ils tentent d'encadrer les banquiers, le vendredi ils arrêtent un météore de l'espace à mains nues pour sauver la Terre, etc.
Je ne sais pas comment ils font pour avoir toujours raison et ne jamais dire de conneries, mais ils sont 'achement balèzes.
C'est rigolo, quand je me connecte du bureau j'ai droit à vos pubs Tampax.
RépondreSupprimerEn fait, derrière les pubs Tampax, il y a des logiciels pirates qui pompent votre disque dur et le serveur de votre boîte. Faut pas naviguer de son bureau !
RépondreSupprimerH;
RépondreSupprimerC' est marrant : j' ai eu la même réaction que vous.
PRR
Vous vous la jouez un peu et prenez la plupart des autres pour des c ... ou vous voulez dire que l' écolo réchauffiste de base est le commun des mortels ?
Il faisait une trentaine de degrés aujourd'hui et ce fut la canicule si demain il y a une quinzaine, ce sera la glaciation. Il y a un rapport au langage qui induit en erreur chez ces professionnels de l'exagération. Une nécessaire sémantique à ne pas perdre.
RépondreSupprimerFB, j'ai la vue qui baisse, sur la photo de votre avatar, la bosse au premier plan, je croyais que c'était une petite gaule matinale sous un pyjama gris.
RépondreSupprimerJe me suis dit: il exagère quand même.
Après inspection en grossissant l'image j'ai constaté qu'il s'agissait d'un livre ouvert, c'est pas pareil.
"Je ne sais pas comment ils font pour avoir toujours raison et ne jamais dire de conneries, mais ils sont 'achement balèzes."
RépondreSupprimerNe cherchez pas longtemps. La réponse est : (ré)élection(s).