"D'après Tarek Moktad, les relations entre «les boers» et les chauffeurs sont mauvaises depuis plusieurs mois. «Les policiers nous empêchent de fumer, de jouer aux cartes, de faire la prière."
La prière. Bin voyons. Pas la peine de demander laquelle. On commence à voir des chauffeurs de taxis avec la barbe islamique, à Paris. Idem pour les autobus. Mais c'est un hasard, hein. Placer ses hommes à des postes où l'on peut bloquer les transports de la capitale, c'est pas une stratégie, no-no-nooon...
Quant à fumer, je pensais que c'était le ramadan, en ce moment ? C'est vraiment quand ça les arrange, leurs salades... Et les cartes ? C'est hallal, ça, les cartes ? Il a rien dit, Momo, sur les cartes ?
Et sur arrêter de nous casser les couilles, il a rien dit, Momo ? Aaaaaah mais je suis con... on me dit que justement... ça fait partie du programme à Momo...
Qui est «on» ? Les autorités politiques et médiatiques, les envahisseurs et leurs alliés. Croyez vous que le Français lambda, pardon, le franchouillard, reproche quoi que ce soit aux policiers ?
Nous sommes bien, comme l'indique Bob, dans une lutte de pouvoir, dont le but est d'étendre, par grignotages successifs, les territoires perdus de la république, les zones de non-droit, où, en réalité, règne un certain droit, le droit islamique.
Evidemment, les coupables sont les traitres qui favorisent les envahisseurs contre leur peuple. C'est un grand classique de l'histoire de France, les Bourguignons contre les Armagnacs, les collabos contre les résistants.
Tout n'est pas dit, tout espoir n'est pas perdu. On voit se mettre en place une réaction : je suis sûr que vous avez noté dans les journaux de l'été plusieurs affaire de Français qui se sont faits justice eux-mêmes (aussitôt désavoués et condamnés par les autorités, certes).
La difficulté pour cette colère et pour ce constat de carence de l'Etat est de trouver une expression politique. Le système est bien verrouillé.
Vous noterez que les premières dirigées par le collabo carpettocrate Hortefeux ont très vite fait comprendre aux policiers que l'affaire sera enterrée (une commission ou une enquête pour un même résultat) et qu'il y aura des caves à l'aéroport pour les taxis pour pouvoir fumer et montrer leurs fesses à Allah, pardon faire leur prière.
Vous voyez, même plus besoin de voter : vous gueulez un grand coup ou vous bloquez un terminal pendant quelques heures et hop, les dhimmis vous donnent ce que vous voulez. Faudra pas s'étonner si le FN retrouve les bonnes grâces des électeurs dans les semaines qui viennent.
"plusieurs affaire de Français qui se sont faits justice eux-mêmes"
Belle démonstration de la supériorité de l'économie de marché libre y compris en matière de sécurité. C'est Molinari qui doit être content.
"Croyez vous que le Français lambda, pardon, le franchouillard, reproche quoi que ce soit aux policiers ?" (Franck)
Euh... oui. Beaucoup de choses, en fait.
Il suffit de lire les témoignages des commentateurs de Fdesouche, qui ne demanderaient pas mieux, pourtant, que de soutenir leur police contre les voyous. L'exaspération du citoyen honnête contre le policier lambda qui se conduit à leur égard exactement comme une racaille est parfaitement palpable.
L'intimidation, le mensonge, le racket, la menace, la lâcheté, la paresse, le mépris de la loi et des citoyens sont des caractéristiques constitutives de trop nombreux policiers français.
Lisez donc le témoignage de tel automobiliste arrêté pour un contrôle approfondi et injustifié, et qui, dès lors qu'il a émis un soupçon de désaccord, s'est vu rajouter sur la facture le grillage d'un stop ouvertement imaginaire, avec menace de poursuite pour outrage s'il s'avisait de continuer à respirer trop fort.
Finalement, le préfet Trucmuche était en dessous de la vérité : non seulement nous sommes effectivement en Afrique, mais, en réalité, c'est mieux en Afrique .
Là, au moins, vous savez que la police est inefficace et corrompue, personne ne s'astique le manche avec les drouadlôm, et vous savez que si les flics vous arrêtent, il suffit de leur glisser un billet pour qu'ils vous laissent partir, puisque c'est dans ce but exclusif qu'ils vous ont arrêté.
Avec un peu de chance, vous aurez même droit à un sourire en prime, ce qui est plus qu'on ne peut attendre d'un flic ripouxblicain français.
Cela n'excuse pas les exactions immigrées, mais cela rend certainement le problème encore plus indémerdable.
Dans le cas qui nous occupe, la prétention de certains taxis à faire la prière musulmane pendant leur service est évidemment extravagante et scandaleuse.
Mais nous ne savons rien, en réalité, des circonstances du contrôle qui a provoqué l'incident. Ni sur sa légitimité, ni sur son déroulement.
La compagnie de taxis affirme que le chauffeur lui devait de l'argent. Il n'est pas certain que faire intervenir la police des taxis dans ce but, sans passer par la justice, soit un moyen légal, légitime et loyal.
Quant à la violence utilisée pendant le contrôle, je remarque une fois de plus qu'un flashball a été utilisé. Là encore, la légalité de son emploi est douteuse.
Le flashball est une arme de légitime défense qui ne doit être employée que lorsque la seule autre solution pour défendre la vie du policier ou d'autrui serait de faire feu, et que le policier cherche à éviter les blessures ou les morts qui pourraient en résulter.
Le flashball n'est en aucun cas une arme de maintien de l'ordre. Tout récemment encore, un manifestant a perdu un oeil suite à un tir de flashball dans ce qui semblait être une banale situation de maintien de l'ordre sur la voie publique, sans mise en danger particulière de la vie des policiers.
Certes, c'était un manifestant gauchiste, ce qui est très mal, nous en sommes bien d'accord ; mais si on commence à concéder aux flics l'amputation oculaire à raison des opinions politiques de leurs cibles, soyez bien sûrs que les réacs ne seront pas les derniers visés. Bien au contraire.
Mais vous avez eu raison de me reprendre : dans ce pays, on manque de rigueur.
Rigueur dans le discours, rigueur dans la syntaxe et l'orthographe (y compris au plus haut sommet de l'Etat) rigueur dans l'emploi des mots, rigueur dans les rôles, droits, devoirs et responsabilité de chacun, rigueur dans l'application des lois, etc.
"D'après Tarek Moktad, les relations entre «les boers» et les chauffeurs sont mauvaises depuis plusieurs mois. «Les policiers nous empêchent de fumer, de jouer aux cartes, de faire la prière."
RépondreSupprimerLa prière. Bin voyons. Pas la peine de demander laquelle. On commence à voir des chauffeurs de taxis avec la barbe islamique, à Paris. Idem pour les autobus. Mais c'est un hasard, hein. Placer ses hommes à des postes où l'on peut bloquer les transports de la capitale, c'est pas une stratégie, no-no-nooon...
Quant à fumer, je pensais que c'était le ramadan, en ce moment ? C'est vraiment quand ça les arrange, leurs salades... Et les cartes ? C'est hallal, ça, les cartes ? Il a rien dit, Momo, sur les cartes ?
Et sur arrêter de nous casser les couilles, il a rien dit, Momo ? Aaaaaah mais je suis con... on me dit que justement... ça fait partie du programme à Momo...
"Les policiers nous empêchent de fumer, de jouer aux cartes, de faire la prière".
RépondreSupprimerUn aéroport est un espace de travail, pas un centre de loisirs.
Si j'ai bien suivi, on reproche aux flics d'avoir fait leur boulot. Kafkaien.
Théo,
RépondreSupprimerVotre commentaire manque de précision.
Qui est «on» ? Les autorités politiques et médiatiques, les envahisseurs et leurs alliés. Croyez vous que le Français lambda, pardon, le franchouillard, reproche quoi que ce soit aux policiers ?
Nous sommes bien, comme l'indique Bob, dans une lutte de pouvoir, dont le but est d'étendre, par grignotages successifs, les territoires perdus de la république, les zones de non-droit, où, en réalité, règne un certain droit, le droit islamique.
Evidemment, les coupables sont les traitres qui favorisent les envahisseurs contre leur peuple. C'est un grand classique de l'histoire de France, les Bourguignons contre les Armagnacs, les collabos contre les résistants.
Tout n'est pas dit, tout espoir n'est pas perdu. On voit se mettre en place une réaction : je suis sûr que vous avez noté dans les journaux de l'été plusieurs affaire de Français qui se sont faits justice eux-mêmes (aussitôt désavoués et condamnés par les autorités, certes).
La difficulté pour cette colère et pour ce constat de carence de l'Etat est de trouver une expression politique. Le système est bien verrouillé.
"Les autorités politiques et médiatiques"
RépondreSupprimerVous noterez que les premières dirigées par le collabo carpettocrate Hortefeux ont très vite fait comprendre aux policiers que l'affaire sera enterrée (une commission ou une enquête pour un même résultat) et qu'il y aura des caves à l'aéroport pour les taxis pour pouvoir fumer et montrer leurs fesses à Allah, pardon faire leur prière.
Vous voyez, même plus besoin de voter : vous gueulez un grand coup ou vous bloquez un terminal pendant quelques heures et hop, les dhimmis vous donnent ce que vous voulez. Faudra pas s'étonner si le FN retrouve les bonnes grâces des électeurs dans les semaines qui viennent.
"plusieurs affaire de Français qui se sont faits justice eux-mêmes"
Belle démonstration de la supériorité de l'économie de marché libre y compris en matière de sécurité. C'est Molinari qui doit être content.
"Croyez vous que le Français lambda, pardon, le franchouillard, reproche quoi que ce soit aux policiers ?" (Franck)
RépondreSupprimerEuh... oui. Beaucoup de choses, en fait.
Il suffit de lire les témoignages des commentateurs de Fdesouche, qui ne demanderaient pas mieux, pourtant, que de soutenir leur police contre les voyous. L'exaspération du citoyen honnête contre le policier lambda qui se conduit à leur égard exactement comme une racaille est parfaitement palpable.
L'intimidation, le mensonge, le racket, la menace, la lâcheté, la paresse, le mépris de la loi et des citoyens sont des caractéristiques constitutives de trop nombreux policiers français.
Lisez donc le témoignage de tel automobiliste arrêté pour un contrôle approfondi et injustifié, et qui, dès lors qu'il a émis un soupçon de désaccord, s'est vu rajouter sur la facture le grillage d'un stop ouvertement imaginaire, avec menace de poursuite pour outrage s'il s'avisait de continuer à respirer trop fort.
Finalement, le préfet Trucmuche était en dessous de la vérité : non seulement nous sommes effectivement en Afrique, mais, en réalité, c'est mieux en Afrique .
Là, au moins, vous savez que la police est inefficace et corrompue, personne ne s'astique le manche avec les drouadlôm, et vous savez que si les flics vous arrêtent, il suffit de leur glisser un billet pour qu'ils vous laissent partir, puisque c'est dans ce but exclusif qu'ils vous ont arrêté.
Avec un peu de chance, vous aurez même droit à un sourire en prime, ce qui est plus qu'on ne peut attendre d'un flic ripouxblicain français.
Cela n'excuse pas les exactions immigrées, mais cela rend certainement le problème encore plus indémerdable.
Dans le cas qui nous occupe, la prétention de certains taxis à faire la prière musulmane pendant leur service est évidemment extravagante et scandaleuse.
Mais nous ne savons rien, en réalité, des circonstances du contrôle qui a provoqué l'incident. Ni sur sa légitimité, ni sur son déroulement.
La compagnie de taxis affirme que le chauffeur lui devait de l'argent. Il n'est pas certain que faire intervenir la police des taxis dans ce but, sans passer par la justice, soit un moyen légal, légitime et loyal.
Quant à la violence utilisée pendant le contrôle, je remarque une fois de plus qu'un flashball a été utilisé. Là encore, la légalité de son emploi est douteuse.
Le flashball est une arme de légitime défense qui ne doit être employée que lorsque la seule autre solution pour défendre la vie du policier ou d'autrui serait de faire feu, et que le policier cherche à éviter les blessures ou les morts qui pourraient en résulter.
Le flashball n'est en aucun cas une arme de maintien de l'ordre. Tout récemment encore, un manifestant a perdu un oeil suite à un tir de flashball dans ce qui semblait être une banale situation de maintien de l'ordre sur la voie publique, sans mise en danger particulière de la vie des policiers.
Certes, c'était un manifestant gauchiste, ce qui est très mal, nous en sommes bien d'accord ; mais si on commence à concéder aux flics l'amputation oculaire à raison des opinions politiques de leurs cibles, soyez bien sûrs que les réacs ne seront pas les derniers visés. Bien au contraire.
Ma réflexion était purement rhétorique.
RépondreSupprimerMais vous avez eu raison de me reprendre : dans ce pays, on manque de rigueur.
Rigueur dans le discours, rigueur dans la syntaxe et l'orthographe (y compris au plus haut sommet de l'Etat) rigueur dans l'emploi des mots, rigueur dans les rôles, droits, devoirs et responsabilité de chacun, rigueur dans l'application des lois, etc.