Certes, Public Sénat est un hochet ruineux pour politiciens narcissiques séniles. Mais bon il arrive que cette chaine fasse œuvre utile.
C'est la première fois que je vois en débat équilibré, où les sceptiques ne sont pas en minorité par rapport aux réchauffistes.
Vous connaissez mon opinion sur ces questions, je ne vais pas faire semblant d'être neutre. Je trouve qu'Allègre et Courtillot se complètent bien : Courtillot s'en tient rigoureusement à la science (attitude mortelle pour les réchauffistes) tandis qu'Allègre dégage les implications politiques.
On voit que dès que le débat est organisé dans des conditions équitables, les réchauffistes ne font pas le poids.
Merci Franck pour m'avoir permis de visionner ce débat! Effectivement, les réchauffistes ne font pas le poids car leurs arguments reposent sur du sable, c'est le cas de le dire... pourtant, ce sont encore ces gens-là - ces lobbies devrais-je dire! - qui sont les plus écoutés de nos si brillants politiques...
RépondreSupprimerOui c'était un débat assez unique en raison de la répartition équilibrée des deux camps sur le plateau, mais aussi du ton presque "pro-sceptique" d'Elkabach. C'est rare sur un plateau télé. Cependant, j'ai beau trouvé les propos d'Allègre intéressants, je trouve son attitude aggressive déplorable et catastrophique pour l'image donnée des contradicteurs du Giec. Courtillot est bien plus calme, sérein et civilisé !
RépondreSupprimerMoi, j'ai bien aimé le propos d'Allègre quand il demande si tout ce qu'on peut envisager, c'est une société faite de taxes et d'interdiction! Sinon, effectivement, j'apprécie la rigueur scientifique et la courtoisie de Courtillot. A noter que les deux principaux contradicteurs semblent être des purs rejetons de ce qu'à produit mai 68. Comme leur idéologie de base à sombrer corps et biens il y a bientôt vingt ans, ils et leurs commensaux se sont rattrapés avec l'écologisme (idéologie découlant de l'écologie) et usent de leur dialectique pour abattre enfin l'hydre capitaliste.
RépondreSupprimerUne journée de repos, pas l'habitude. bref, j'ai vu ce soir"c dans l'air". grande qualité, jolie conclusion même si c'est aragon qui s'exprime. Et Courtillot détendu mais malin et opportuniste, débat intelligent, subtils propos. on aimerait la télé. le sujet ? la fin du monde.Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue... pardon, voyez c dans l'air du 18 11
RépondreSupprimerJe ne suis pour une fois pas d'accord avec vous.
RépondreSupprimerTOUS ces différents personnages me font penser aux différents groupes éthniques qui se sont battus à Paris parce qu'ils n'ont pas reçut l'argent "gratuit" espéré .Aucuns ,de Courtillot à Allegre ou Jouzel se défend d'utiliser de l'argent volé pour le bien de la collectivité. Qu'ils se battent pour le butin,car c'est à celui là de régler le problème de la gestion des déchets dans les mégalopoles ou à celui là de traiter le probléme de l'eau potable qui par son absence tue 100 000 personnes/ secondes,/ minutes, /jours,/ semaines...on ne pourrez savoir tellement c'est absurde! D'accord il ne veut pas de taxes ou d'interdictions, bien, mais il propose que nos sociétés payent (c'est à dire nous) ses différentes lubies; OGM, Dépollution, et autres délires.
C'est typiquement la " présomption fatale " que décrit Hayek dans les routes de la servitude.
Ces gens ne sont que des socialistes qui vont nous mener à la ruine. Ils n'ont aucune confiance dans les comportements individuels s'affirmant par les échanges libres, mais préfèrent la spoliation et la destruction.
La différence entre Courtillot et Allègre est à la fois de tempéraments et de points de vue. Courtillot est strictement scientifique, Allégre est politique.
RépondreSupprimerIl est clair que le caractère colérique d'Allègre le rend moins convaincant. Cependant, cela fait quand même du bien aux convaincus, dont je suis, d'entendre quelqu'un qui ne se sent pas obligé de s'écraser, de prendre d'infinies précautions avant d'oser contester la terreur réchauffiste, et qui ose dire sans tourner autour du pot ce qui est la vérité toute nue : le réchauffisme est une connerie scientifique destinée à promouvoir un programme politique et à tirer des sous du public crédule.
Jouzel est devenu un escroc du même style qu'Al Gore ou que Jancovici.
J'ai trouvé les deux écrivains très mauvais, voire franchement cons.
{On voit que dès que le débat est organisé dans des conditions équitables, les réchauffistes ne font pas le poids.}
RépondreSupprimerPas trop d'accord Franck,
Il faut marteler simple.
Monsieur Giec a dit au début "il se passe ceci, il va se passer cela"
"Il faut faire Ça".
Il l'a répété à la fin.
Entre les deux : "l'atmosphère d'en haut, et l'atmosphère d'en bas".
Monsieur Giec a la peur pour lui.
Vu du "bon sens commun", (si le bsc regarde la chaîne Sénat) :
(Le bsc ne change pas facilement.)
"Il y a consensus", "Les plus hautes autorités..."
"Jamais entenu dire que les ours polaires sont plus nombreux que quand ils étaient moins nombreux", "et les glaciers?","
"Monsieur Rocard a dit qu'on allait griller si on ne faisait rien."
"Monsieur Rocard est un sage, Monsieur Rocard est un homme de proposition". "Le Président Sarkozy lui demande ce qu'il faut faire pour le grand emprunt"
"Monsieur Allègre est pour l'eau", "et si l'eau bout?"
"Monsieur Courtillot est bien gentil, mais compliqué. On comprend pas trop."
"Monsieur Allègre est pour limiter la population mondiale."
"D'ailleurs Monsieur Allègre, il est pour capter et sequestrer le CO2."
"Monsieur Allègre est pour un gouvernement mondial ou ce qui y ressemble."
"Au fond, ils sont presque d'accord sur ce qu'il faut faire."
"Taxer les entreprises? Mais bien sûr! Tout le monde est pour!"
Tout baigne!
C'est vrai qu'Allègre a l'air d'un sacré étatiste ! Ne pas laisser le marché renouveler peu à peu les types d'énergie, selon qu'elles seront rentables ou non etc, mais tout décider d'en-haut.
RépondreSupprimerEnfin... c'est un socialiste.
Il semble que depuis un an, le nombre de scientifiques sceptiques croisse rapidement. on peut ainsi espérer que certains d’entre eux ne soient pas étatistes comme le sont nombre de chercheurs fonctionnaires du cnrs ou de l’inserm. un petit espoir certes mais je ne me fais pas d'illusion. les écolos veulent "changer le monde", bouleverser un agencement humain qui les effraie. la vérité scientifique ralentira tout au plus ce rouleau compresseur. les échecs économiques ne freinèrent en rien les communistes, de même qu’aucun argument théologique ne stopperait les islamistes dans leurs projets de changer le monde. Le petit peuple aspire légitimement à une nature proprette « pour ses enfants ». l’indigence des arguments scientifiques échappe au plus grand nombre. Vaclav Klauss a raison : de l’écologie naitront les pires contraintes. Revel ou P. Muray décrivaient si bien le pouvoir de ceux qui œuvrent « pour votre bien » dans cette dictature de bien pensants. Ils ont là un trop bel os à ronger
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