Ce qui frappe, c'est qu'en 91, les gens étaient parfaitement conscients d'où venaient les problèmes, et surtout, de la méthode pour les empêcher de se défendre ("on nous traite de racistes"), déjà parfaitement rôdée.
J'en conclue que les problèmes s'étant massivement aggravés, et la méthode s'étant amplifiée jusqu'au matraquage, les gens sont plus que jamais conscients des problèmes et de cette méthode, et n'en pensent pas moins.
Échec de la propagande: à trop forcer, comme en URSS, elle se retourne contre elle-même; maintenant les gens n'osent plus parler comme en 91 (jusqu'à quand ?), mais ils pensent sûrement la même chose encore plus fort.
Pour résoudre un problème, il faut au minimum deux étapes préalables: - admettre qu'il y a un problème; - en poser clairement l'énoncé.
L'intelligentsia nie l'existence même du problème jusqu'à la dissonance cognitive et cloue au pilori tout individu tentant une approche impartiale et rationnelle du sujet.
Ce qui est fabuleux, c'est que le bonhomme sur le plateau de Bilalian ait le temps de finir ses phrases. Avez-vous remarqué ? Personne ne l'interrompt, personne ne lui coupe la parole.
Ce qui frappe, c'est qu'en 91, les gens étaient parfaitement conscients d'où venaient les problèmes, et surtout, de la méthode pour les empêcher de se défendre ("on nous traite de racistes"), déjà parfaitement rôdée.
RépondreSupprimerJ'en conclue que les problèmes s'étant massivement aggravés, et la méthode s'étant amplifiée jusqu'au matraquage, les gens sont plus que jamais conscients des problèmes et de cette méthode, et n'en pensent pas moins.
Échec de la propagande: à trop forcer, comme en URSS, elle se retourne contre elle-même; maintenant les gens n'osent plus parler comme en 91 (jusqu'à quand ?), mais ils pensent sûrement la même chose encore plus fort.
Pour résoudre un problème, il faut au minimum deux étapes préalables:
RépondreSupprimer- admettre qu'il y a un problème;
- en poser clairement l'énoncé.
L'intelligentsia nie l'existence même du problème jusqu'à la dissonance cognitive et cloue au pilori tout individu tentant une approche impartiale et rationnelle du sujet.
Ce qui est fabuleux, c'est que le bonhomme sur le plateau de Bilalian ait le temps de finir ses phrases. Avez-vous remarqué ? Personne ne l'interrompt, personne ne lui coupe la parole.
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