Comme prévu dès le mois d'août, comme espéré, le sommet de Copenhague a échoué.
Il accouche d'un objectif «ambitieux» et de mesures «non contraignantes», c'est donc un Kyoto bis, qui aura le même succès (c'est-à-dire que seuls ces crétins d'Européens se laisseront entraver).
Après un tel échec, les hystériques du réchauffisme vont en rajouter une couche pour essayer de relancer la machine à faire peur(Scoop : les éditoriaux qui nous attendent).
Cependant (peut-être prends-je mes désirs pour des réalités), il me semble que cela va devenir difficile :
> comme je l'ai déjà écrit à plusieurs reprises, le temps joue contre les réchauffistes.
Cela fait maintenant vingt ans qu'ils nous bassinent avec leurs conneries, il va devenir de plus en plus difficile d'argumenter «puisque nous ne sommes pas sûrs, il faut absolument faire quelque chose d'énorme». Cet argument va peu à peu devenir «Vous nous avez prévu des catastrophes qui n'arrivent pas, nous commençons à être sûrs qu'il faut se méfier de vous et de vos recommandations».
> l'hystérie est lassante. On se mithridatise. A part pour des grouspuscules dont je m'honore de faire partie, il n'y avait pas ou près peu d'échappatoire. Mais, effet positif (au moins un)du sommet de Copenhague, les vrais scientifiques ont eu la parole à l'occasion du Climategate. Le public qui daigne se renseigner a maintenant une alternative au réchauffisme (en réalité, il l'a toujours eu, mais bien cachée).
C'était attendu, souhaitable.
RépondreSupprimerNous sommes plus nombreux qu'on le pense a etre irrité et etre sceptique devant cette propagande.
"Après un tel échec, les hystériques du réchauffisme vont en rajouter une couche pour essayer de relancer la machine à faire peur"
RépondreSupprimerAvec des dizaines voire des centaines de milliards qu'on pourraient extorquer aux cons-tribuables et qui pourraient leur échapper, il est aisé de voir que les réchauffagistes ne vont pas lâcher le morceau aussi facilement. Et de voir le mouvement se radicaliser.
Mais je suis sûr que d'un autre côté, cet échec doit faire plaisir à certains d'entre eux : on organisera d'autres conférences et ce sera encore une fois l'occasion pour ces crevures de pouvoir se goinfrer sur le dos des pauvres qui ne sont juste qu'un alibi dans le dispositif.