Je ne connaissais pas l'affaire Goldman et je n'en ai pas grand'chose à foutre : les causes pour lesquelles les gauchistes se branlent le Polichinelle et qui leur permettent de s'admirer dans le miroir complaisant de leur conscience élastique me laissent tout à fait indifférent.
Mais cet article est tellement clair et démonstratif de l'immoralité de la «gauche morale», que je vous y renvoie.
Pierre Goldman, encore et toujours
Ne croyez pas que cela soit du passé : on nous refait le coup avec Cesare Battisti.
Notamment, la manipulation de l'opinion publique, à coups de pétitions, de pression médiatique et de journalistes embrigadés, de façon à faire céder la justice, est on ne peut plus actuelle.
Il semble que sur Causeur j'aie trouvé l'art et la manière de jeter un froid !
RépondreSupprimerhttp://www.causeur.fr/pierre-goldman-encore-et-toujours,3683?show=comments
Que personne ne se donne la peine de vous répondre ne prouve pas que vous ayez raison !
RépondreSupprimerCeci étant, des erreurs judiciaires, on sait faire.
Je ne connais pas cette affaire plus que l'article de Causeur, mais, à la relecture, il me semble que c'est assez explicite.
mais enfin je n'affirme rien, sinon que la clarté urge. Pas d'accord, Franck ?
RépondreSupprimerà votre place, je crois que cela m'exciterait, de savoir si Giscard était un homme de droite en carton-pâte au point de laisser l'opinion de gauche (et encore, d'une certaine gauche, le PCF ayant été très en retrait dans l'affaire) sortir à la hussarde de prison un double assassin, en laissant ridiculiser sa police.
Ce qui m'intéresse, plus que la culpabilité ou l'innocence de Goldman, ce sont ces bourgeois gauchistes qui s'amourachent d'un truand.
RépondreSupprimerEternelle histoire de mauvais garçon qui fait mouiller la bourgeoise.
Jean Cau, qui a fréquenté beaucoup de gauchistes et qui lui venait du peuple, s'est séparé d'eux le jour où il s'est aperçu qu'ils n'en avaient rien à foutre du peuple et qu'ils étaient tous des bourgeois motivés par des réglements de comptes familiaux.
Les gauchistes ne changent jamais : toujours malhonnêtes et inconséquents, ils sont en plein dans le système, ils en sont même les gardiens, mais ils font mine d'aimer et d'exalter tout ce qui est en marge.
Je préfère un bon bourgeois du XVIème qui roule en Rolls en fumant le cigare à tous ces hypocrites. Ou un ouvrier qui vote Le Pen. Eux au moins ne trichent pas avec ce qu'ils sont.
«si Giscard était un homme de droite en carton-pâte au point de laisser l'opinion de gauche (et encore, d'une certaine gauche, le PCF ayant été très en retrait dans l'affaire) sortir à la hussarde de prison un double assassin, en laissant ridiculiser sa police.»
RépondreSupprimerPour la première partie, aucun doute, Giscard était un homme de droite en carton-pâte, affligé de ce complexe d'une certaine droite française qui cherche toujours (et échoue toujours) à séduire l'intelligentsia gauchiste.
Pour le «au point de ...», je ne sais pas.