Le réchauffisme est scientifiquement mort, à supposer d'ailleurs qu'il ait jamais été vivant. Théorie faible et mal fondée dès sa naissance, il est normal qu'elle meurt après que ses faiblesses se soient petit à petit précisées à mesure que les connaissances progressaient.
Par contre, il restera la question épistémologique: les réchauffistes les plus virulents se sont livrés à des malhonnêtetés anti-scientifiques (rétention d'informations, falsification de données, intimidation, ...).
Or, ils n'ont pas suscité dans la communauté scientifique la réprobation scandalisée qu'on était en droit d'attendre face à de tels comportements. Les mauvaises pratiques n'ont pas mis leurs auteurs au ban de leur profession.
L'argument tant utilisé du consensus devrait révolter tout scientifique digne de ce nom, quelles que soient ses opinions sur le climat : il n'en a rien été. La contestation a été faible.
Il conviendra donc de faire une analyse du fonctionnement de la communauté scientifique. D'autant plus qu'il y a eu d'autres affaires de fraude ces dernières années dans d'autres domaines que le climat.
Les scientifiques sont des hommes comme les autres, avec les mêmes faiblesses. Mais on peut espérer perfectionner le fonctionnement de la recherche.
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