Il est navrant, affligeant, de voir le gouvernement se défendre de faire une politique de rigueur.
C'est vrai : dans le monde des réalités, il ne fait pas une politique de rigueur, tout juste une politique très légèrement moins irresponsable. Mais tout de même, dans le monde irréel du microcosme politico-médiatique français, c'est ce qui se rapproche le plus de la rigueur. Alors pourquoi ne pas l'assumer ?
Je suis navré que «rigueur», un beau mot, soit ainsi calomnié.
Quand on a peur des mots, c'est vraiment qu'on n'a plus de courage, peut-être même qu'on n'en a jamais eu. Et pourtant, il va en falloir pour affronter les épreuves qui viennent.
CPEPF (Ce Pays Est Presque Foutu).
Vous êtes un rigolo, comme tous les complotistes.
RépondreSupprimerLes Etats qui dépensent plus qu'ils ne gagnent sont, comme tous les endettés du monde, dans la main de leurs créanciers. Ce "complot" est aussi vieux que l'économie.
Vous remarquerez qu'il n'y a pas de "complot" contre la Suisse ou la Nouvelle-Zélande, Etats peu endettés.
Les banques constituent un lobby comme un autre, à ceci près que certains Etats mal gérés (que de malheurs aura provoqué le "modèle social français") sont obligés de leur laisser les clés de la maison.
Vous ne voulez pas que les banques se mêlent de politique ? Simple : votez pour des politiques rigoureuses.