Dans cette formule, antiracisme rétrovirus hitlero- stalinien, je me suis amusé à condenser mon analyse de l'antiracisme. Bien sûr, elle est hors de portée de la cervelle de moineau d'un journaliste et ne rencontrera donc pas le succès.
Rétrovirus : l'antiracisme s'attaque aux défenses de l'occident. Le blanc n'a plus le droit de se défendre contre les autres, forcément colorés, sous peine de se faire accuser de racisme. Accusation qui vaut condamnation. En revanche, les autres, protégés par leur statut de victimes intrinsèques du racisme, ont le droit d'attaquer. Le cas de René Galinier, jusque dans sa caricaturale cruauté, illustre à merveille ce point.
Hitlero : l'antiracisme fonctionne exactement suivant les mêmes mécanismes que l'hitlérisme avec des valeurs en miroir. Le surhomme est le métis (voir les odes délirantes à Obama), l'épuration forcée est remplacée par le métissage forcé. Cette obsession raciale aura les mêmes conséquences atroces si l'on ne la combat pas.
Stalinien : l'antiracisme emploie les méthodes de propagande stalinienne mises au point dans les années 30.
"Bien sûr, elle est hors de portée de la cervelle de moineau d'un journaliste et ne rencontrera donc pas le succès"
RépondreSupprimerJe pense le contraire, que l'immense majorité partage votre opinion (les antiraciste compris, surtout eux : ils en vivent), sauf que beaucoup n'ose pas l'avouer ou se l'avouer. Les bobo-babyboomers préfèreront couler et emmener tout le monde avec eux plutôt que de reconnaitre qu'ils se sont plantés sur toute la ligne.
"Le surhomme est le métis"
RépondreSupprimercf. la chanson néo-nazi de Pierre Perret "Mélangez-vous"...