Hitler avait une vision des juifs et de leurs méfaits qui nous paraît folle aujourd'hui mais qui lui a permis de construire une politique cohérente et d'obtenir les résultats criminels que vous savez.
Aujourd'hui, une bonne part de la population française, y compris parmi les dirigeants, est victime de visions fantasmagoriques porteuse de décisions cauchemardesques :
> «les races n'existent pas et tous les hommes ont vocation à vivre ensemble». On remarquera que c'est le symétrique, tout aussi fou, de la vision hitlérienne. En réalité, les races existent (1) mais elles n'expliquent pas tout. Elles ne sont qu'une composante des sociétés humaines aux multiples facettes. Le danger de cette vision, gros de guerres civiles, est dans«les hommes (sous-entendu, de différentes races qui n'existent pas) ont vocation à vivre ensemble» : l'histoire prouve exactement le contraire.
> «la France est victime du libéralisme». La France est peut-être victime du mondialisme, mais c'est différent (2). Dans un pays qui crève de trop de collectivisme, combattre le libéralisme ne peut qu'amener des catastrophes économiques et sociales.
Je crains qu'à partir des ces deux folies, nous soyons bien partis pour faire exactement le contraire de ce qui est souhaitable : protectionnisme économique et immigration massive au lieu d'ouverture économique et immigration restreinte.
Mais le pire n'est jamais sûr : il se peut que des gens intelligents prennent des décisions intelligentes. Il y a un siècle, la France connaissait une période de grande prospérité dans un contexte libéral : Peugeot, Renault, Citröen ...
Que faire ? L'idéologie étant imperméable aux faits, il faut se battre contre les mauvaises idées mais sans attendre de résultats immédiats. A court terme,il faut tenter d'imposer ponctuellement de bonnes mesures pour grignoter l'idéologie sur le mode «cause toujours». Par exemple, le statut d'auto-entrepreneur d'Hervé Novelli était une bonne idée et qui était trop petite pour apparaître sur l'écran-radar des grands penseurs anti-libéraux.
Je pense que les difficultés à venir, suscitées par la crise, que nous nommons financière par facilité, seront favorables à cette infiltration libérale. Le discours restera probablement socialiste, pas la réalité.
**************
(1) : pour ne pas qu'on me refasse trente-six fois la discussion : je me fous de ce que dit la biologie sur le sujet (à supposer qu'elle nie l'existence de races, ce qui n'est pas si sûr). La question est sociologique : tant qu'on mettra un Suédois de souche et un Sénégalais de souche côte à côte et que l'un pensera «je suis blanc» et l'autre «je suis noir», les races existeront.
(2) : il ne serait jamais venu à l'idée de Tocqueville, Say ou Bastiat de se revendiquer «citoyens du monde». Ils n'étaient pas assez bêtes pour cela : la cosmopolitisme est une forme de bêtise puisqu'il est basé sur l'incompréhension de la diversité des hommes et des cultures.
J'ignore tout d'Hitler sinon les bribes données par l'école. Et votre comparaison n'est pas très convaincante pour moi. Mais ce que l'histoire apprend, c'est que tout peut basculer (exemple : la fin de la république romaine (affreuse pour le Sénat), la Révolution française ou russe, la perte brutale de l'Algérie, l'effondrement du mur de Berlin et donc du communisme) en très peu de temps. En 1970 (j'avais 20 ans), c'était impossible de critiquer le communisme et de dénoncer les camps à moins d'accepter d'être un "facho". Aujourd'hui on peut sans problème. Pour moi, c'est époustouflant ! Je n'en reviens toujours pas.
RépondreSupprimerUn lien sur un sujet intéressant : http://www.fondation-res-publica.org/Les-choix-de-l-Allemagne_r76.html
Je pense que l'expression «grosse de» ne peut s'employer que pour un concept «féminin» [ex. «Toute union est grosse de violence dès lors que les parties y sont contraintes.» (in-nocence.org)].
RépondreSupprimerTLFi: il ne s'agit pas ici de la description d'un état présent (j'ai le coeur gros de larmes) mais bien de la métaphore de la femme enceinte (grosse d'un premier enfant).
Quant à employer cette expression pour un... malheur futur, il y a là une misogynie latente qui ne me surprend pas trop chez Renaud Camus, qui fera grincer les dents des dames, et m'inquiète pour l'auteur.
Pour aller dans votre sens au sujet de l'existence des races:
RépondreSupprimerhttp://chutefinale.wordpress.com/2010/01/08/genetique-races-et-cie-articles-importants/
Sur la question du protectionnisme, je remarque que pas mal des blogueurs que je lis (H16 et vous en particulier) s'accordent à le dénoncer comme une sottise; je n'ai pas de connaissances particulières en économie donc excusez-moi si ma question vous paraît idiote, mais en l'absence de protectionnisme, que fait-on contre le chômage, quand on est confronté à une concurrence comme celle de la Chine? Car autant j'arrive à suivre les argumentaires libéraux sur la nocivité de l'interventionnisme forcené et des systèmes de redistribution, autant la question du protectionnisme est pour moi une pierre d'achoppement... J'aimerais donc être éclairée à ce sujet.
A propos du protectionnisme, voici un auteur qui n'a pas pris une ride :
RépondreSupprimerlLes fabricants de chandelles
Merci. Je trouve les raisonnements de Bastiat convaincants sur le papier, sauf qu'en pratique, dans le cas des fabricants de chandelles soumis à la concurrence du soleil, ceux-ci peuvent toujours se tourner vers une autre production; mais dans un contexte où tout est produit à l'étranger, et où toute l'agriculture et l'industrie françaises disparaissent, qu'aurait proposé Bastiat? Faut-il ne rien faire et attendre que le niveau de vie et le salaire des Chinois (et des autres) ait atteint le nôtre, ou nous mettre nous-même à leur niveau?
RépondreSupprimerLe commerce libre nous permet d'avoir des produits chinois moins chers, améliorant notre pouvoir d'achat.
RépondreSupprimerA nous, en contrepartie de faire comme les Allemands : de vendre aux Chinois des produits dont ils veulent.
La question des races ne se posent plus. Depuis l'étude mondiale sur le génome humain, on SAIT qu'elles existent même si on les dénomme désormais "groupes biologiques".
RépondreSupprimerDes biologistes essaient encore de noyer le poissons en "montrant" que (pour certains sous-ensembles de gènes) les différences sont plus importantes entre des personnes de "même groupe" qu'entre personnes de "groupes différents" (oui oui, différents, vous avez bien lu), mais de moins en moins sont dupes.
Faire une étude scientifique des particularités de chaque groupe est légitime, par contre le vrai problème serait de tenter d'établir une hiérarchie entre ces groupes.
@Nevermore
RépondreSupprimerUne hiérarchie "générale" me paraît effectivement difficile à établir.
Une hiérarchie a été établie et admise dans des domaines particuliers, anecdotiques et qui ne dérangent personne : solidité des cheveux (avantage aux asiatiques), natation (avantage aux blancs), sprint (avantage aux noirs), rapidité des réflexes (avantage aux blancs et aux asiatiques). La hiérarchie la plus évidente est bien sûr la résistance de la peau aux ultra-violets.
Hiérarchiser les races dans d'autres domaines me semble également réalisable, mais ô combien dérangeant surtout dans un pays ou l'égalitarisme est un dogme.
Par ailleurs cette hiérarchie est purement statistique : le fait d'appartenir à une race augmente les probabilités d'avoir telle ou telle caractéristique, mais cela ne donne pas la certitude d'avoir cette caractéristique.
Ci-après un de mes anciens commentaires, puisqu'ayant trait à l'un des thèmes:
RépondreSupprimerPhilippe Rushton a démontré l'inégalité des races. Les noirs sont moins intelligents, en moyenne, que les blancs, lesquels sont moins intelligents, en moyenne, que les asiatiques.
Mais le fossé intellectuel entre les noirs et les blancs est de très loin beaucoup plus important que celui entre les blancs et les asiatiques.
Par ailleurs, « les hormones qui confèrent aux Noirs un avantage en sport les rendent agités à l'école et plus facilement enclins au crime », (Philippe Rushton, phrase extraite de Wikipédia), ce qui explique la surreprésentation des noirs dans les prisons et les couloirs de la mort des pays multiraciaux, comme les Etats-Unis, et leur supériorité athlétique.
La culture joue un rôle marginal, comme le démontre l'étude du devenir des enfants noirs adoptés et élevés par des familles d'une autre race: leurs résultats et leur parcours scolaire, leur insertion et leur réussite socio-professionnelles, les scores qu'ils obtiennent aux tests mesurant le QI, etc., ne convergent pas avec ceux des individus d'une autre race, au contraire ils ne diffèrent pas de ceux des individus noirs élevés par leur famille biologique. Les noirs ont un volume cérébral inférieur à ceux respectifs des blancs et des asiatiques, des organes génitaux plus développés, un bassin plus étroit, une croissance plus rapide.
Les Etats-Unis comme objet d'étude ont une force démonstrative incomparable quant à la secondarité du facteur culturel, en ce sens que les afro-américains sont aussi anciennement implantés sur le sol américain que les blancs américains, et même plus anciennement implantés que les asiatiques, que les blancs sont tout autant des déracinés qu'eux, que les noirs américains font partie du "corps américain traditionnel" et historique, et que le roman national américain était vierge et n'existait pas avant l'arrivée des noirs, qui étaient présents dès le début de son écriture, contrairement aux Africains d'Europe où là à la rigueur on aurait pu incriminer leur implantation récente sur le sol européen, qui ferait qu'ils ne seraient pas encore complètement intégrés dans les sociétés autochtones d'accueil, ce qui ferait qu'ils n'auraient pas complètement achevé de se dépouiller des attributs de leur culture d'origine, et n'auraient pas encore complètement adopté la culture et les moeurs européennes.
Chez les noirs, cette moindre intelligence innée, cette supériorité athlétique innée, cette surdélinquance trop patente pour pouvoir être uniquement attribuer à leur culture, tout cela crève les yeux, et ceux qui nient ça par pusillanimité, ou autocensure, ou refus de la réalité qu'on voudrait autre, plus conforme à ses idéaux, et moins déplaisante, ou par soumission à la bien-pensance, sont dépourvus d'honnêteté intellectuelle et perdent de leur crédit. Tout le monde le sait au fond de lui-même, même si tous ne se l'avouent pas. On peut soupçonner que ceux qui refusent avec obstination de discuter du facteur racial ou nient avec la dernière énergie son influence déterminante, et font commerce de traquer les incriminations du facteur racial, sont, par une sorte de refoulement psychanalytique, les plus intimement pénétrés des "préjugés" raciaux, et de l'importance du facteur racial.
Watson, le co-découvreur de l'ADN, abonde dans le sens de Rushton, en déclarant, entre autre, que l'ONU ne peut pas prétendre appliquer la même politique que celle qui a présidé au développement des pays occidentaux et asiatiques.
Les études de Philippe Rushton sont facilement accessibles sur Internet:
http://www.charlesdarwinresearch.org/French.pdf
Les races existent, sauf à avoir la prétention de contredire Ernst Mayr, James Watson, Philippe Rushton et à faire prévaloir une vision militante du Monde et ses idéaux sur l’honnêteté intellectuelle, l’objectivité scientifique, et les évidences tirées de l’observation du réel, surtout quand ces évidences et les résultats scientifiques confluent.
RépondreSupprimerCe à quoi sont plus facilement enclins que tout autre les gauchistes humanitaires et les progressistes rêveurs; ce à quoi se laisse parfois aller, comme nombre de ceux chercheurs en sciences humaines ou de l’éducation de ses collègues du CNRS, Axel Kahn, que l’indéniable brillance intellectuelle et scientifique ne prémunit pas toujours contre les énormités, prouvant ainsi que le bon sens et l’ancrage dans la réalité ne vont pas, loin de là, nécessairement de pair avec l’intelligence, dont ils constituent un garde-fou (sa dernière sortie de route, réclamer la suppression des notes dans le Primaire).
Le « vrai problème », ce qui serait discutable, ce n’est pas le fait d’affirmer l’existence des races, ni le fait d’affirmer de bonne foi, à partir de l’observation de la réalité et de la lecture de ceux des travaux scientifiques qui ont été guidés par le seul souci de l’honnêteté intellectuelle et de l’objectivité scientifique, leur hétérogénéité et leur inégalité en termes d’aptitudes intellectuelles et physiques, la suprématie intellectuelle des races blanche et asiatique et leur moindre propension à la violence d’instinct primitive et sauvage, qui leur confèrent une plus grande intelligence de survie et une plus grande adaptabilité; ce serait de penser que cette inégalité des aptitudes doit déboucher sur une inégalité en droit.
@ Laura : le protectionnisme, les consommateurs votent contre TOUS LES JOURS avec leur porte monnaie : uranium du Niger, kiwis de Nouvelle Zelande, biens manufacturés de Chine, voitures d'Europe de l'est, etc.
RépondreSupprimer@ Weetabick : ca veut dire que pour vous, les allemands, descendants des Germains, avaient raison de mépriser les francais, race inférieure, et de les soumettre en 1940 pour en faire des esclaves ou des prostituées ?
RépondreSupprimerUn facteur dont vous ne tenez pas compte, en parlant de France, Franck, c'est le fait qu en realité l'identité est avant tout régional.
RépondreSupprimerSur le plan des habitudes culinaires, professionnelles, linguistiques ou culturelles, il y a moins de liens entre un breton et un marseillais ou un tourangeau et un basque qu'entre un lillois et un wallon.
La Nation est decidemment un échelon qui est peut etre de trop, entre la région et l'Europe.
Il n'empêche que Thomas Sowell est noir et plus intelligent que la plupart des blancs que je connais : la variabilité des hommes est très grande. Baser une politique sur de telles considérations me paraît suspect.
RépondreSupprimerJe suis sur une autre optique : peu importe les qualités et les défauts de chaque population, chacun chez soi, les blancs chez les blancs, les noirs chez les noirs.
Cela me fait assez rire que certains nous disent que nous devrions nous enthousiasmer de la présence de dizaines de millions d'Africains en Europe alors que les mêmes trouvaient insupportable la présence de quelques millions d'Européens en Afrique (d'accord le contexte était différent, mais cela n'excuse pas tout).
Parisien libéral,
Je m'inscris en faux. Vous oubliez que les Français sont unis par la langue et l'histoire. Certes, je n'ignore pas que cette unification fut quelquefois violente.
J'ai la vision inverse de la vôtre : l'Europe et la région sont politiquement superflues (surtout l'Europe).
Bien sûr, Thomas Sowell. Et Allen West, si vous voulez. Et probablement quelques autres.
RépondreSupprimerMais combien de Thomas Sowell, aux Etats-Unis ?
Vous savez bien qu'un contre-exemple ne veut rien dire. Il s'agit de moyennes et de courbes de Gauss. Il y a toujours des gens à droite de la courbe de Gauss. Mais il n'y en a pas beaucoup. Et la droite d'une courbe de Gauss dont le centre correspond à un QI de 70, ça casse pas des barres, en termes de niveau... Ce qui veut dire que Thomas Sowell est une espèce de monstre, une anomalie...
Il est stupide et criminel, pour un peuple dont le QI moyen est de 100, d'ouvrir massivement les portes migratoires à un peuple dont le QI moyen est de 70, ce qui est considéré comme de la débilité mentale pour un Blanc.
Cela devrait relever de l'évidence.
Comment expliquez-vous que l'Afrique du Sud, qui ressemblait à un îlot de prospérité occidentale au milieu de l'Afrique quand elle était dirigée par les Blancs, sombre dans la misère, la criminalité et le chaos depuis que les Noirs sont au pouvoir ?
En Afrique du Sud, on n'arrive même plus à avoir de l'électricité en continu, maintenant... et le nombre des viols atteint des niveaux effarants... c'est encore la faute au racisme, ça ?
Comment expliquez-vous les résultats scolaires et universitaires des Noirs américains, systématiquement et massivement inférieurs à ceux des Blancs ? Au point qu'ils n'arrivent à passer dans les classes supérieures qu'à la faveur de la discrimination positive et du recrutement sportif ?
Tout cela est abondamment documenté, bétonné, étanche.
L'entourage du directeur des écoles de la ville de Detroit tente de l'empêcher d'envoyer des mails, tellement son niveau d'anglais est catastrophique.
Il est, évidemment, noir.
Le problème n'est pas l'intelligence des immigrés en tant que telle.
RépondreSupprimerDans une société libérale, c'est-à-dire, dans une société où l'autorité fait respecter le droit de propriété, la présence d'individus moins intelligents que les autres n'est nullement gênante : les gens moins intelligents demeureront dans les basses couches sociales, et c'est tout. A l'instar des autres infirmes, ces gens seraient en effet dépourvus de tout moyen de nuire ; si vous ne les aimez pas, vous avez le droit de ne pas les fréquenter, ou de pas mêler votre sang au leur.
Un premier problème apparaît lorsque l'on confie un bulletin de vote à ces personnes. Notons tout d'abord que ce n'est nullement une nécessité : l'on pourrait concevoir que les immigrés jouissent des droits civils mais non des droits civiques (c'est d'ailleurs à peu près l'état du droit en France). D'autre part, il faut se rappeler que l'intelligence (par opposition au caractère) a un rôle bien faible dans la détermination effective du vote (il y a énormément de socialistes parmi l'"élite" intellectuelle, le problème avec eux étant seulement qu'ils n'appliquent pas leur intelligence à la chose politique, préférant se draper dans une idée frelatée de la vertu) et que, de toute manière, l'homogénéité idéologique des candidats aux élections retire beaucoup d'enjeu au choix des électeurs. Les banlieues ont très nettement préféré Ségolène à Sarkozy ; qu'est-ce que ça change ? (autre est la question des groupes de pression islamistes qui influencent les hommes politiques sur des questions d'intérêt local comme les mosquées).
Une seconde épine pourrait subsister si, outre d'une intelligence plus faible, certaines franges de la population étaient également affectées par une moralité plus dissolue -- ou, si vous préférez, par une moindre capacité à maîtriser leurs instincts animaux. Néanmoins, quand bien même cette seconde déficience serait réelle (question sur laquelle je ne me prononcerai pas), une politique pénale libérale devrait être nature à en limiter efficacement les effets nocifs : si certains individus sont si bestiaux qu'ils ne peuvent être contraints à adopter un comportement civilisé même par la menace ou l'application de sanctions, du moins devraient-ils être mis hors d'état de nuire par l'application effective de sanctions. Que les écoliers noirs américains aient de moins bons résultats que leurs homologues blancs n'est en soi nullement contradictoire avec le remarquable ordre public dont New York est réputée jouir depuis 20 ans (je n'ai vérifié aucune de ces deux allégations, je me contente de noter qu'elles ne s'opposent pas).
Tout ceci ne change du reste rien au fait que l'immigration afro-musulmane génère actuellement une sur-criminalité, et qu'il faudrait à tout prix parvenir à enrayer.
Jérôme Baraglioul.
Jérôme Baraglioul :
RépondreSupprimerBien sûr que l'intelligence n'est pas la seule différence fondamentale entre les ethnies. Le caractère et le comportement en sont une autre. Simplement, l'intelligence est plus facile à mesurer.
Mais je vous "rassure", les différences en matière de caractère vont, elles aussi, dans le mauvais sens. La preuve : la sur-représentation carcérale massive, et universelle en Occident, des allogènes non européens.
Les "remèdes" que vous proposez à cet effet ne sont que des palliatifs, et n'ont de sens qu'à partir du moment où l'on juge inévitable la présence massive des extra-occidentaux en Occident. Ce dont tente de nous convaincre la propagande du système.
Mais elle n'est, bien entendu, pas inévitable.
Evidemment qu'on peut fourrer
massivement en prison une population criminogène. C'est ce que font les Etats-Unis avec leurs Noirs.
Mais le mieux, bien entendu, est de ne pas l'admettre sur son territoire, et de ne pas coexister avec elle.
La sécurité nouvelle de New York n'est pas contradictoire avec cela. Les Etats-Unis ont le malheur d'être dans une situation historique où ils sont condamnés à vivre avec leurs Noirs, car on ne les imagine plus rentrer en masse en Afrique. (En revanche, cela n'est pas du tout la même chose pour les Latinos, dont l'arrivée est beaucoup plus récente.)
Mais notre immigration n'est pas du tout irréversible.
Les gauchistes voudraient nous faire croire que la seule façon d'expulser les immigrés du territoire, ce serait, soit de les mettre un par un, accompagnés de six policiers chacun, dans un avion de ligne (c'est ce qu'on fait, aujourd'hui, avec les résultats ridicules que l'on connaît), soit de les mettre dans des wagons à bestiaux avec des fours crématoires au bout.
Mais c'est un grossier mensonge réthorique.
Dans les années 1950, Eisenhower a renvoyé chez eux, en Amérique latine, plus de deux millions d'immigrés clandestins, avec seulement un millier de policiers, qui ont fait le tour des ranchs qui les employaient.
Ils ont été déportés par autobus et par bateau.
Naturellement, sur les deux millions, il y en a un certain nombre qui sont repartis d'eux-mêmes.
Les gauchistes omettent toujours cet effet, puisque leur propagande pose comme un axiome, une fois pour toutes, que la répression n'est pas dissuasive. Ce qui est faux, selon toute évidence.
La répression n'est pas dissuasive quand elle fait seulement semblant d'être répressive.
Parisien Libéral, il est regrettable que votre louable antiracisme vous fasse vous sentir autorisé à l’exercer au détriment de l’honnêteté et de la rigueur intellectuelles, à moins qu’il ne s’exerce au détriment de votre discernement, je ne sais;
RépondreSupprimerque le fait de parler de races et de spécificités raciales discriminantes vous fasse automatiquement monter sur vos grands chevaux, et avoir la suspicion automatique;
que cette suspicion automatique vous fasse avoir une lecture bien sélective et orientée des écrits du suspect, et n’y chercher que ce que vous voulez bien y trouver, quitte à leur faire dire ce qu’ils n’ont jamais dit et que vous auriez voulu qu’ils disent, pour pouvoir vous mettre en scène, à peu de frais, dans le rôle si flatteur du gentil face au méchant, et accréditer et conforter votre vision, si séduisante de par sa simplicité, d’une société française divisée entre un camp du Bien, antiraciste et progressiste, et un camp du Mal, raciste et rétrograde, et quitte à prêter un peu rapidement et facilement au suspect de noires idées qu’il n’a jamais exprimées et qu’il n’a pas, et à le calomnier en toute bonne conscience antiraciste.
Ce sur quoi votre lecture sélective a passé, je le porte donc à nouveau à votre connaissance:
"Le « vrai problème »,[...], ce serait de penser que cette inégalité des aptitudes doit déboucher sur une inégalité en droit."
J'ose espérer que ça suffira à faire un sort dans votre esprit à mon supposé esclavagisme, et à démontrer l’incongruité du mauvais procès d’intention que vous me faites.
Sinon, tout à fait d'accord avec Robert Marchenoir.
RépondreSupprimerPour être bien précis:
RépondreSupprimerCe sur quoi votre lecture sélective a passé, par manque d'honnêteté et de rigueur intellectuelles, ou par manque de discernement, je le porte donc à nouveau à votre connaissance:
"Le « vrai problème »,[...], ce serait de penser que cette inégalité des aptitudes doit déboucher sur une inégalité en droit."
@RM :
RépondreSupprimerPour des clandestins c'est moins problématique.
Le vrai problème c'est ceux qui sont français, avec une carte d'identité et tout...
Et ce foutu droit du sol, véritable machine çà imprimer ces cartes d'identité de la République Française.
Saku : le droit du sol n'est pas immuable. Les Etats-Unis ont le même, et il vient de naître un mouvement pour le remettre en cause.
RépondreSupprimerLes Américains commencent à se rendre compte que lorsque des agences de tourisme proposent à des Chinoises enceintes des voyages tout compris pour accoucher aux Etats-Unis d'un bébé américain (qui pourra ensuite faire venir toute sa "famille" par le miracle du regroupement familial), eh bien il y a quelque chose qui ne tourne pas rond.
"Le « vrai problème »,[...], ce serait de penser que cette inégalité des aptitudes doit déboucher sur une inégalité en droit."
RépondreSupprimerTout à fait d'accord.
Dans un autre ordre d'idées (mais pas si différent) tout au long de ma vie, j'ai rencontré beaucoup de personnes plus intelligentes que moi (cà se sent facilement - c'est quasiment évident entre autres au lycée), et d'autres moins intelligents. Cà n'a jamais empêché des rapports normaux, voire cordiaux.