Paraît-il que «la parole se libère», sous-entendu, la parole des salopards abrutis racistes franchouillards xénophobes comme le tenancier de ce blog tandis que nous, bien-pensants, vêtus de probité candide et de lin blanc, tordons le nez comme un imam dans une foire au boudin et poussons des petits cris horrifiés de hamsters qu'on écrase avec un rouleau compresseur.
Alors, on nous ressort la phrase parfaitement stupide mais si utile quand on veut pratiquer le terrorisme intellectuel : «Le racisme n'est pas une opinion, c'est un crime». C'est devenu l'automatisme des perroquets.
Mais, à ce compte-là, la phrase «Le socialisme n'est pas une opinion, c'est un crime» est beaucoup plus pertinente : si les idées peuvent être des crimes, le socialisme a beaucoup plus de morts, de tortures et de massacres en tous genres, sur la conscience que le racisme.
Vous voyez : rien n'est plus aisé que de criminaliser la pensée de ses adversaires.
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