"Il faut limer et frotter sa cervelle à celle d'autrui" (Montaigne)
dimanche, mai 22, 2011
Minuit à Paris
Je n'étais pas tranquille en allant voir ce film : Télérama a adoré. C'est d'habitude le signe infaillible que je vais m'endormir avant la fin du premier quart d'heure. Des critiques plus barbants et plus pédants, y a pas.
Heureusement, Woody Allen aime Paris. Cet amour sauve le film de ces quelques longueurs et fait qu'il est fort plaisant. A force de clichés, on échappe aux clichés : Woody aime le vrai Paris, celui qui existe, pas un Paris imaginaire.
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