La nuit porte conseil. Quelques remarques :
> le referendum grec n'est que la poursuite de la politique de Papandreou depuis le début de la crise : le chantage à la sortie de l'Euro, pour demander moins d'efforts aux Grecs et plus d'argent aux autres.
> la fin de l'Euro ne peut venir que de Berlin. Tant que l'Allemagne paiera, l'Euro vivra.
> la solution ultime, la monétisation des dettes étatiques par la BCE, n'a reçu qu'un début d'application, n'a pas encore été poussée jusqu'à son terme et n'a pas fait sentir ses effets destructeurs. Il faudra bien cinq à dix ans avant que tout cela n'arrive. Donc l'Euro est loin d'être mort.
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