Le Figaro :
L'affaire Lies Hebbadj serait-elle en train de se dégonfler ? Le juge d'instruction de Nantes, Jacky Coulon, a prononcé vendredi un non-lieu dans le principal volet du dossier de fraudes aux prestations sociales impliquant l'épicier et trois de ses maîtresses. Sur une période allant d'avril 2007 à mai 2010, Sandrine Mouleres - verbalisée puis relaxée en 2010 pour port du niqab au volant -, et Sonia Yaker - poursuivie fin novembre dernier pour infraction à la loi sur la dissimulation du visage - ont notamment touché des allocations de parent isolé ou un RSA majoré. Le préjudice était estimé à 90.000 euros.
Suivant l'avis de deux responsables de la Caisse d'allocations familiales, qui n'a d'ailleurs pas porté plainte, le juge a estimé qu'il n'y avait pas d'irrégularités. Le parquet ne semble pas du même avis et a fait appel de cette décision, expliquant, comme le rapporte Ouest-France , que «l'ensemble des auditions des mis en examen, des constatations matérielles, des témoignages de femmes qui ont vécu ou connu Lies Hebbadj et des témoignages extérieurs démontrent incontestablement que ses relations avec ses compagnes présentent les éléments d'une communauté de vie». Ce qui, selon le parquet, permettrait de dire que les sommes perçues l'ont été à tort.
Le pire, c'est qu'il est possible que ce jugement immoral soit juridiquement fondé. Ce qui indiquerait une fois de plus quel niveau de bassesse et de déchéance ont atteints les institutions françaises.
Le moyen d'arrêter ce genre de conneries ? Il est politique, pas juridique : arrêter de transformer de vrais étrangers en faux Français.
> zéro immigration extra-européenne, quoi qu'il en coute.
> droit du sang.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire