François Hollande est le candidat des médias. Le matraquage en devient pénible.
Qu'on puisse penser ou dire quoi que ce soit en faveur de ce politicard de quatrième zone me semble un signe sûr de bêtise (ce qui n'implique pas qu'on doive s'enthousiasmer pour Sarkozy : je comprends qu'on puisse les détester à parts égales).
Les médias français tombent de plus en plus bas. A ce rythme, ils auront atteint le centre de la terre vers le mois de mai.
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