Je ne suis pas du tout surpris qu'il se soit trouvé un inconscient pour estimer que la possible présence de ministres communistes à notre gouvernement n'est pas pas vraiment une honte.
Une telle attitude ne peut s'expliquer que par la connerie (une connerie méchante, vicieuse, jalouse) ou une ignorance crasse.
Pour la connerie, je ne peux rien. En revanche, je peux tenter de guérir l'ignorance.
Bien sûr, la lecture du Livre noir du communisme suffit à remettre les pendules et les consciences à l'heure.
En attendant, je vous ai photographié quelques pages du Studio de l'inutilité (le fichier est un peu lourd), que je suis en train de lire :
Extrait : le Studio de l'inutilité
Pour l'anecdote : j'ai visité Tuol Sleng. C'est terrifiant de simplicité : il s'agit d'un ancien lycée. Pour torturer, il suffit de mettre deux cents personnes à vivre dans une salle de classe, de tremper les récalcitrants dans les jarres d'engrais et de jouer au ball-trap avec les bébés.
Sur les 16 000 à 20 000 personnes passées par Tuol Sleng, il y a eu en tout et pour tout quatorze survivants.
Douch, le tortionnaire en chef, n'a rien trouvé de mieux à dire que : «Je voulais être un bon communiste».
Au moins, les choses sont claires.
Et qu'on ne me dise pas que c'est hors-sujet : Jean-Luc Mélenchon a l'honnêteté, ou le cynisme, de ne pas cacher son admiration pour le régime chinois, c'est-à-dire, pour appeler les choses par leur nom, qu'il assume pleinement les millions de morts au nom du communisme chinois.
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