La solitude de Nicolas Sarkozy ne fait aucun doute : entre les jeunes (et moins jeunes) cons de l'UMP qui croient qu'une défaite aujourd'hui leur prépare une victoire en 2017, les Copé, NKM, et les vieux rassis aigris, Juppé, Raffarin qui se vengent de leur nullité, il ne reste plus grand monde.
La solitude de François Hollande est moins apparente, car de nombreux «amis» se rallient à la victoire (supposée). Mais sur qui cet homme qui n'a jamais eu d'écurie au PS peut-il compter ? Personne.
Le milieu politique est bien la lie de la société française.
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