La gauche détient l'école, la presse, les milieux médiatiques (je n'ose écrire artistiques - car il faut les chercher, les artistes, parmi les subventionnés), la magistrature.
Elle peut ainsi imposer ses mauvaises idées et détourner la critique sur des boucs-émissaires. La seule discussion publique, c'est entre la fausse droite soumise au diktat gauchiste et la vraie gauche.
On peut admirer la patience avec laquelle la gauche a mené sa conquête sur cinquante ans. On peut aussi flétrir l'inconscience et la lâcheté de la droite qu'il l'a laissée faire.
Maintenant, que faire ?
Très simple en théorie, plus difficile en pratique : reconquérir les places perdues dans les journaux, dans les écoles, dans les tribunaux.
La droite est bien démunie, mais c'est dans le silence et le dénuement qu'on prépare les plus grands exploits.
La droite, dans sa solitude, a deux alliés très puissants : la réalité et le temps.
La réalité : jamais, nulle part, le socialisme n'a fonctionné. Il a toujours augmenté la pauvreté et le bordel ambiant.
Le temps : ça va bien finir par se voir et les générations passent.
La réalité, cela va d'abord être la banqueroute et il va devenir de plus en plus difficile de financer le socialisme.
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