Puisque François Hollande est président, essayons de savoir ce qui en sortir de bon.
Le discrédit du socialisme ?
Certainement pas. Si le socialisme pouvait être discrédité par ses échecs, cela fait longtemps qu'il n'y aurait plus un socialiste sur terre.
D'autant plus qu'une presse enamourée protégera M. Hollande à la mesure de ce qu'elle a attaqué Nicolas Sarkozy. La liste des boucs-émissaires est déjà dressée, dans l'ordre : les Allemands, la finance sans visage, les riches sans coeur, les patrons mauvais Français, les Américains, les Chinois, les technocrates de Bruxelles.
L'union de la droite ?
Là encore, prudence. La droite sans couilles a largement prouvé son exceptionnelle capacité à se soumettre à la gauche et, en conséquence, à refuser tout ce qui pourrait la faire gagner.
Des réformes que la droite n'a pas osé faire ?
Cela, c'est possible. On sait bien que les oppositions syndicales et les grèves sont moins virulentes sous la gauche (preuve que syndicats font de la politique).
Le problème, c'est que tout cela est payé à chaque fois de concessions qui paralysent le pays pour des décennies.
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