Miracle ! Zemmour et Domenach sont d'accord. Et pour quoi ? Pour dire le plus grand mal de Valérie Tweetweiler.
Je l'ai déjà dit sur ce blog : je serais Valérie Trierweiler et je connaitrais l'histoire de France, je serais terrifiée. Heureusement, elle est protégée contre une inquiétude excessive par l'ignorance crasse de l'histoire de France qu'elle partage avec tous les socialistes ou presque (car, du passé, faisons table rase).
En France, les reines qui se comportent mal, on les répudie, on les enferme, on les exile, voire on les guillotine.
En tout cas, si je puis donner un conseil amical à cette dame, qui n'est rien, même pas l'épouse de François Hollande, peut-être même pas divorcée, c'est de se faire toute petite, de disparaître de la circulation, de faire la potiche. Si cela ne lui plait pas, rappelons que rien ne l'oblige à vivre avec le président de la république.
Comme cela ne semble pas dans son tempérament, et si elle n'est pas assez intelligente pour comprendre qu'elle doit absolument brider son tempérament, elle s'expose à de graves ennuis : en période de crise, la patience et la pondération ne sont pas les points forts des Français.
Sous son aspect anecdotique, il y a autour dans l'affaire Trierweiler une mise en cause de fondement du socialisme à la sauce Hollande : rapport à l'autorité, à la famille (1), à la tradition, aux lubies féministes.
C'est pourquoi cette affaire privée a un potentiel politique explosif.
Nota : que Zemmour proclame que son seul héros est Bonaparte montre assez les limites de son analyse politique. Mais, au royaume des aveugles, les borgnes sont rois.
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(1) : il ne faut pas être un psychologue chevronné pour comprendre que François Hollande a un problème avec la famille.
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