Audrey Pulvar a toujours été insupportable, même pour les nerfs les plus solides. Du genre qu'on a envie de lui envoyer la mandale du siècle à chaque fois qu'elle ouvre la bouche.
Là, elle se surpasse : ayant beaucoup oeuvré dans l'homélie et les cours de morale sur les ondes publiques, donc payées par le moutontribuable qui n'en peut mais, elle répond quand on l'interroge sur une paire de lunettes qui pourrait valoir dans les 12 000 € (payés par le moutontribuable, on ne le dira jamais assez) : "Je fais ce que je ce que je veux de l'argent que je gagne".
C'est-à-dire exactement le contraire du montontribuable ordinaire qui, lui, ne peut pas faire ce qu'il veut de l'argent qu'il gagne, tant il est ratiboisé par le gouvernement dont fait partie le tout aussi insupportable compagnon de Mme Pulvar.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire