Extrait d'un éditorial des Echos :
Luigi Einaudi, président de la République italienne dans les années 1950 :
« Quelques mois d'hésitation et de division des Etats italiens de la fin du XVe siècle ont coûté à l'Italie la perte de son indépendance pendant trois siècles. »
L'éditorialiste évoque évidemment la situation française.
Par bien des cotés, la France actuelle me fait plutôt penser à l'Espagne du XVIIIème siècle ratant la première révolution industrielle, toute aveuglée par la vanité imbécile de sa gloire passée, très passée, comme nous sommes aveuglés par notre prétendu «modèle social» que tout le monde s'empresse de ne pas copier.
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