«L'assurance-vie au secours de l'immobilier». C'est un titre des Echos de ce matin.
Les avantages fiscaux de l'assurance-vie seraient conditionnés par une part d'investissement immobilier.
C'est à pleurer des larmes de sang :
1) L'immobilier français ne souffre pas de manque de capitaux mais d'une bureaucratie trop lourde et de manque de foncier.
2) Il n'y a pas plus mauvaise politique d'investissement que d'encourager l'immobilier :
a) La subvention se retrouve dans les prix et écarte encore plus les moins aisés de la solvabilité.
b) une bonne politique publique d'investissement est celle qui encourage l'innovation et les gains de productivité, c'est-à-dire tout le contraire de l'immobilier.
Une conclusion s'impose : nous sommes dirigés par des fous. Qui plus est, incompétents et dangereux.
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