On achève bien les héros
Que la nouvelle de cette agression n'ait pas fait le tour des journaux illustre bien l'immonde saloperie de notre époque : on se gargarise sans pudeur d'antifascisme, mais les antifascistes, on les préfère virtuels, morts ou communistes.
Quand il leur arrive, ou qu'ils disent, des choses qui dérangent, on les oublie.
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