À Chypre, on a appliqué, mais très mal, c'est-à-dire à la manière européiste, brouillonne et dictatoriale, la moitié de la solution que je préconise : la mise en faillite des banques zombies.
Les déposants et les actionnaires morflent, c'est juste.
Hélas, la rigueur et la rapidité nécessaires pour éviter la panique ont manqué : avec des gens compétents, les banques chypriotes auraient rouvert hier matin.
En revanche, on n'a pas appliqué la deuxième moitié de ma préconisation, la sortie de l'Euro. Cela enlève beaucoup d'intérêt à la manœuvre en cours.
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