Un homme de 23 ans a été condamné à de la prison ferme suite aux Manifs Pour Tous.
C'est contradictoire avec le discours officiel («la prison ne résout rien» gna gna gna ...) et disproportionnée avec les peines de sursis pour les attaquants du RER ou avec l'absence de condamnation des récents casseurs «antifas».
C'est le deux poids-deux mesures habituel de la gauche. Simplement, en l'occurrence, il est pratiqué par la justice, qui, par là même, cesse d'être juste.
Rien qui ne doive surprendre mes lecteurs habituels. Mais il semble que cela surprenne encore certains Bisounours de droite.
Soyons clairs : en France, la presse, l'école et la justice sont politiques et de gauche. La presse, l'école et la justice sont nos ennemies et elles ne nous font pas de quartier. Pourquoi leur en ferions-nous ?
Pas de pitié : pas de journaux (à part Valeurs Actuelles), que la presse crève. Toute occasion de militer pour la suppression des subventions à la presse est bonne à prendre. Couper la télé comme en Grèce ? Très bien.
Pas de pitié pour l'école : dans le privé et, si possible, hors contrat.
Pas de pitié pour l'appareil judiciaire, l'emmerder jusqu'au trognon, à pied, à cheval, en voiture. Retourner les armes procédurales contre lui. Ne rien lâcher. Zemmour a eu tort en son temps de ne pas faire appel de sa condamnation.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire