Je comprends les jeunes djihadistes français de souche. Je ne les excuse pas.
Dans nos sociétés femelles, les jeunes hommes ont bien du mal à exprimer leur virilité, réprimée de toutes les façons. Les plus ordinaires se livrent à des sports violents, risqués et souvent stupides.
Mais il est des âmes plus élevées qui ont soif de se sacrifier et de s'éprouver au feu de la guerre. L'exutoire naturel pour ses âmes exaltées est l'armée ou la mission religieuse.
Cependant, en France, on cultive un tel ethnomasochisme (lisez l'article hallucinant de Natacha Polony sur ce salopard d'Askolovitch), je comprends que des égarés choisissent l'anti-France, le djihad. Alphonse Boudard raconte qu'il n'a tenu qu'à son antipathie pour le milicien du quartier qu'il fût résistant.
Si je les avais en face de moi, respectueux de leur choix (qui est mauvais), je ne leur chercherais pas d'excuse, je ne les infantiliserais pas. Je leur mettrais une balle dans la tête. Sans mépris et sans haine.
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