Les retraites des métiers «pénibles» seront plus avantageuses.
Comment va-t-on décréter qu'un métier est pénible ? Tous les métiers vont vouloir être «pénibles». Les commerçants s'y mettent. Et croyez vous que les électriciens d'EDF et les cheminots ne vont pas se battre pour que leur métier soit «pénible» ? La liste des métiers non-pénibles va être très courte à dresser. C'est de bonne guerre.
Evidemment, tout cela va se décider au rapport de forces, à l'habileté du lobby, à la campagne médiatique bien menée. Comme les métiers réellement pénibles ne bénéficient pas toujours d'une structure et d'un lobby bien introduits dans les allées du pouvoir, on aura une fois de plus généré au nom de la justice encore plus d'injustice.
L'essentiel, c'est que les hommes de l'Etat puissent continuer à mettre leurs gros doigts boudinés dans nos vie.
On voit toute la perversité du système de retraite par répartition, où l'Etat, c'est-à-dire les policticens et leurs clientèles, intervient sans cesse, arbitrairement, au nom de logiques politiciennes et électoralistes.
Cela va encore être, une fois de plus, «grâce» à la «solidarité» étatisée, la guerre de tous contre tous.
La vraie réponse juste à la pénibilité réelle ? Le marché. Dans un pays où le marché du travail fonctionne et où il y a 3 % de chomage, les métiers pénibles sont mieux payés ou on les quitte. Et avec un système de retraite par capitalisation, ça se sent sur la retraite. Malheureusement, dans ce système, les hommes de l'Etat perdent leur rôle te leur pouvoir, une catastrophe.
Bref, on est toujours dans la même saloperie : les hommes de l'Etat, l'étatisme, l'Etat, créent un problème par leurs décisions absurdes et se proposent ensuite de le régler par des décisions encore plus absurdes, et ainsi de suite.
On observe le même phénomène sur le logement, par exemple. Sur l'emploi. Sur l'industrie. Etc.
Jusqu'à la faillite.
Le socialisme, ça ne marche pas. En quelle langue faut-il le dire et l'écrire ?
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