Des bleus et des roses dans un kibboutz
J'en profite pour vous conseiller l'excellent blog de Michel Goya.
Nous apprenons donc qu'un kibboutz des années 20 a tenté d'élever garçons et filles de manière indifférenciée et qu'il a totalement échoué.
De cet exemple, je tire deux conclusions :
1) La connerie humaine n'a pas de fond. Je pensais que la dite théorie du genre était tellement conne que seuls des connards et des connasses post-soixante-huitards et leurs héritiers pouvaient soutenir de pareilles fadaises. Hé bien non, il y a eu des cons pour y penser avant.
2) On a une nouvelle preuve que la théorie du genre est absurde.
Je dis «une nouvelle preuve» car nos socialistes qui se croient à la pointe du progrès ont dans le domaine social comme dans les autres un bon demi-siècle de retard, voire beaucoup plus. Thème que j'ai déjà abordé dans le billet Les vieilles idées de nos socialistes et la jeune science.
En économie, le virage «social-démocrate» de François Hollande qui a arraché des grognements d'extase à la classe jacassante, patronat compris, a cinquante ans de retard.
Revenons à nos moutons roses et bleus. Les débilités de la Beauvoir («on ne nait pas femme, on le devient») ne sont pas d'hier mais d'avant-hier.
Les recherches récentes (mais pas nouvelles au point que nos politiciens soient pardonnables de les méconnaître) montrent au contraire que les différences sexuelles sont profondément ancrées dans nos êtres et pas seulement une construction sociale. Même les Norvégiens s'en sont aperçu. Les preuves s'accumulent.
Bref, comme d'habitude, les socialistes nous vendent leur soupe comme le nec-plus-ultra de la mode et traitent de bouseux arriérés ceux qui ont le malheur de s'y opposer alors que ce sont eux les vrais arriérés en retard d'une époque.
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