Les gouvernants ont peur de la partition et du remodelage des frontières. Il me semble pourtant que c'est la solution de beaucoup de problèmes.
D'une part, je ne vois pas bien la raison de forcer à vivre ensemble des gens qui ne veulent pas ; d'autre part, vous connaissez mon idée que l'avenir est aux petits pays homogènes et agiles.
Je rappelle que la paix européenne depuis 1945 tient en partie aux transferts de populations et aux partitions effectués (très brutalement) par les vainqueurs.
Contrairement à la pétition de principe à la mode «si les peuples se connaissaient mieux, ils s'aimeraient plus», quand les peuples se connaissent, c'est en général pour se foutre sur la gueule.
Organiser une pacifique indifférence est une bonne idée.
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