1) Moi, président des écoutes
Bien entendu, je ne crois pas un instant à l'impartialité des juges dans les affaires judiciaires concernant Nicolas Sarkozy. Oui, ils sont partiaux et de connivence avec le gouvernement. Pourtant, cela ne signifie pas que Nicolas Sarkozy est innocent.
« On fait toujours semblant de confondre les juges avec la justice, comme les prêtres avec Dieu. C'est ainsi qu'on habitue les hommes à se défier de la justice et de Dieu. »
Alphonse Karr
2) Pourquoi les électeurs préfèrent les menteurs
3) La France sombre-t-elle dans l'utopie ?
Cet article est fondamental pour comprendre les dangers du gouvernement actuel.
4) Jusqu'où ira la violence de l'Etat ?
Cet article est particulièrement terrifiant car nous sentons que ce mouvement d'immixtion de l'Etat dans le moindre détail de nos vies est extrêmement difficile à arrêter.
Les politiciens et les hauts fonctionnaires ont fini par comprendre que la peur était très mobilisatrice. Qu'offrir protection contre tout, et aussi contre n'importe quoi, était pourvoyeur de bulletins de votes et de crédits abondants.
Le cercle vicieux est bien connu : l'Etat propose sa protection (souvent contre des problèmes qu'il a créés ou aggravés) et les citoyens prennent l'habitude infantile d'exiger cette protection tous azimuths.
Et le goût de la liberté est perdu.
Le mal est dans les têtes et se manifeste souvent par des détails. Quelqu'un que je connais fort bien fait partie d'un club de 300 membres qui touche une subvention municipale de 600 €. Cet homme a demandé en assemblée générale que la subvention, qui ne représente que 2 € par membre soit refusée, afin que l'association garde sa liberté. Sur la soixantaine de présents, un seul a compris sa proposition et l'a soutenue, les autres soit n'ont pas compris, soit s'y sont opposés. C'est cela aussi «la France d'en bas». C'est pourquoi je ne déborde pas d'optimisme.
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