24 jours en 110 minutes...
Les juifs médiatiques, la classe jacassante juive, en ont trop fait sur le judéocide hitlérien.
L'excés est toujours puni : ras-le-bol, banalisation.
Combiné à un immigration massive foncièrement antisémite, le résultat n'est pas flamboyant, c'est le moins qu'on puisse dire. Il y a d'ailleurs une contradiction flagrante entre tenir l'antisémitisme pour l'abomination absolue et encourager jusqu'au délire l'immigration de populations à l'antisémitisme notoire. Mais la gauche, dans sa folie, est habituée aux contradictions les plus absurdes.
Il est hélas un peu trop tard pour se rendre compte que l'exhibitionnisme mémoriel peut avoir des inconvénients et que la pudeur, des fois, c'est pas mal.
Mais l'effet le plus grave est encore sur les juifs eux-mêmes : le peuple juif est devenu le peuple de la Shoah. Réduire un peuple millénaire à un événement, aussi dramatique soit-il, tourné en obsession, est une faute contre l'esprit.
Alors, j'ose un sacrilège : non, le peuple juif n'a pas le monopole de la souffrance. Je préfère David abattant Goliath à tous ces geignards qu'on entend si souvent.
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