Versailles, otage de l'art contemporain
Les conservateurs de Versailles sont des salauds à un double titre : d'une part, alors qu'ils ne sont que dépositaires, ils se comportent comme des propriétaires, ils prétendent avoir du goût et l'imposer au public, ce qui est déjà une usurpation grotesque. D'autre part, ils vont délibérément, par snobisme, à rebrousse-poil du public qui, pourtant, les paye.
La question que pose Christian Crombaz est plus générale : les Français ont-ils encore le droit de dire «Non» ?
Non à l'art contemporain à Versailles, non à l'immigration massive, non à l'européisme, non à l'intrusion toujours plus profonde de l'Etat dans nos vies, non à toujours d'impôts pour financer les bons-à-rien ...
Hélas, nous connaissons la réponse.
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