Beaucoup de catholiques, notamment ceux de gauche, confondent "catholique" et "masochiste suicidaire" : la France est submergée par des vagues migratoires conquérantes, des islamistes égorgent des chrétiens, mais il ne faudrait pas le déplorer, il faudrait "tendre l'autre joue" jusqu'à l'extinction.
J'ai tendance à penser que cette doctrine suicidaire est passagère, adaptée à nos sociétés femelles, mais que, sous la pression de l'adversité, les catholiques retrouveront petit à petit leur mission de défenseurs de la Vérité.
Je recopie un commentateur du Figaro :
«Depuis le concile Vatican II, l'Eglise traditionnelle a disparu, remplacée par des discours révolutionnaires plus ou moins sérieux. Le pape François n'y échappe pas. L'article de J S Phillippart est très bien: documenté, vif, intelligent. Le problème est ailleurs. Parler de saint Augustin, de saint Thomas d'Aquin, ou des autres docteurs de l'Eglise n'a pas de sens pour les dirigeants du Vatican.
Cette référence n'existe plus.
Et l'amour du prochain -qui relève de la charité personnelle- n'a rien à voir avec la gestion d'un Etat. Un Etat -fût-il chrétien!- n'a pas à tendre la joue, même s'il encourage tous les moyens favorisant une paix juste.»
Répliquer à la violence ou tendre l'autre joue : le dilemme du Pape et des Chrétiens
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