Je dis souvent que Woody Allen a le talent alternatif comme il y a le courent alternatif : un coup sur deux il fait un film de merde, verbeux, touche-pipi, intello chiant et le coup d'après, il nous fait une merveille.
Magic in the moonlight entre dans la seconde catégorie.
Allen prétend que c'est son meilleur film depuis La rose pourpre du Caire. C'est sans doute un peu exagéré mais, comme d'habitude, les années 20 l'inspirent pour le meilleur.
Un magicien hyper-rationaliste tente de démasquer une pseudo-medium. Bien entendu, il finit par en tomber amoureux. Mais ce n'est qu'une partie de l'histoire, où l'on rencontre des questions du genre «Dieu existe-il ?», «l'amour existe-il ?», «que faire d'une tête de delco d'Alfa Romeo sous l'orage ?» etc.
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