Les lobbys islamiques font en ce moment pression sur l'ONU et l'UE pour établir un délit de blasphème.
Notre classe dirigeante est très perméable à ces pressions puisqu'elle a déjà intériorisé le délit de blasphème. Il suffit d'entendre avec quelle révérence grotesque on parle dans les medias du «Prophète» (la majuscule s'entend dans la componction des locuteurs). Le jour où on parlera comme cela de «Notre Seigneur Jésus-Christ», je m'engage à verser un mois de salaire au Parti Socialiste !
La lâcheté de notre classe dirigeante est si grande qu'elle sera prête à concéder le délit de blasphème aux catholiques (qui s'en réjouiront, les cons !) pour mieux le donner à la seule population qui l'intéresse, les musulmans.
Le risque est donc que toute critique publique de l'islam soit interdite. En l'absence de débat, la résistance à l'islamisation devient impossible, puisqu'on ne peut plus expliquer en quoi l'islam est mauvais pour nous et pourquoi nous devons lui résister.
Je devrais donc être d'un pessimisme noir : vue de cette façon, la semaine à Charlie est bien une défaite totale de l'occident en général, et de la France en particulier.
Hé bien non, je conserve un optimisme, certes modéré, mais optimisme quand même. Le noyau des Français, minoritaires je le reconnais, qui sont fermement disposés à résister à cette islamisation se durcit à cause de l'imminence du danger et les ex-musulmans, à l'image de Malika Sorel, ne sont pas les moins motivés. Notamment, il y a des femmes qui, malgré les conséquences désastreuses d'un féminisme dévoyé, ne sont pas prêtes à revenir sous le joug islamique.
Et ce sont les minorités qui font l'histoire. Les veaux feront comme d'habitude, ils iront du coté où penche la balance, pétainistes en 40, gaullistes en 44.
Or, si l'évolution de la démographie joue en faveur de l'islamisation, la prise de conscience du danger joue contre elle. Il s'agit donc d'une course de vitesse entre démographie et prise de conscience. Et je ne suis pas sûr que cela soit plus rapide de faire un enfant que de prendre conscience d'un danger mortel !
On ne dispose pas si aisément d'un vieux peuple que certains technocrates, apatrides, lâches et cyniques, les Juppé, Sarkozy, Hollande et compagnie, semblent le croire.
J'ajoute, parmi les facteurs d'espoir, la propension assez fantastique des musulmans à se diviser dès qu'ils approchent du pouvoir. Il n'y a guère que les écolos qui peuvent leur faire concurrence sur ce point.
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