Euro : fin de partie remise
Je comprends le raisonnement de Roland Hureaux, puisque c'est aussi le mien. Comme toute construction idéologique, l'UERSS est aussi solide que ces casse-tête chinois faits de pièces de bois enchevêtrées, paraissant indestructibles tant que tout se tient et s'écroulant dès qu'on ôte un morceau.
Cependant, je me demande si la politique est aussi mécanique que cela. Il y a tout de même chez les peuples un réel sentiment européen, certes manipulé et perverti à son profit par la caste européiste comme certaines salopes utilisent le sentiment amoureux pour en tirer des avantages très matériels.
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