Excellente critique d'Eric Zemmour :
La démocratie sans le peuple
C'est vraiment l'exercice où il est le meilleur. Pierre Rosanvallon, insupportable pontifiant comme tous les précieux de gauche, est crucifié avec délectation, tant dans son expression, lourde et ampoulée, que dans ses idées, convenues, datées et inutiles.
C'est le drame de la modernité de laisser une place démesurée aux causeux (et Dieu sait si la gauche a des réserves infinies de baveux de toutes sortes) et pas assez aux faiseux.
J'ai la nostalgie bonapartiste : non pas le chef de guerre, mais le réformateur au pas de charge.
Ode à un Proche Orient Défunt
C'est clair comme du Charles Gave. Dommage qu'il y ait toujours des petites fautes d'orthographe ou de ponctuation qui trainent.
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