Il ne faut jamais oublier que l'obsession raciale est au coeur de la construction européiste.
Bien sûr, le sujet n'est jamais abordé frontalement mais les non-dits sont d'autant plus puissants qu'ils sont tus.
Quand Jean Monnet dit qu'il faut faire disparaître les nations européennes, fauteuses de guerre, la logique pousse à se demander s'il ne faut pas faire disparaître aussi les peuples européens qui constituent ces nations.
Or, c'est exactement le plan de Richard Coudenhove-Kalergi, un des fondateurs intellectuels de l'européisme. Mélanger, métisser, les peuples européens jusqu'à ce qu'ils disparaissent.
Sans ce fond, on ne comprend pas la xénophilie hystérique des européistes, cette obsession de favoriser par tous les moyens la submersion des Européens.
Les idéologues ont toujours besoin de victimes sacrificielles, qui les juifs, qui les bourgeois.
Pour les idéologues européistes, les victimes sacrificielles, les boucs-émissaires responsables de tous les maux, à génocider d'urgence pour faire advenir le bonheur sur terre, c'est nous, les peuples européens. Interprétez à cette lumière toutes les récentes réactions des européistes au Brexit et elles deviennent limpides, évidentes.
Ainsi, quand le ministre français (dont on se demande bien ce qu'elle a de français) Axelle Lemaire traite les Brexiters de « petits blancs », elle ne divague pas, elle n'erre pas, elle nous révèle le fond de sa pensée.
C'est pourquoi il faut se débarrasser des européistes, les éloigner au maximum du pouvoir sous toutes ses formes, c'est une question de vie ou de mort pour les peuples européens.
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