D'abord, il faut connaître l'ennemi et ne pas se raconter d'histoire :
"L’islamisme radical n'est pas une déviation, c'est l'islam le plus traditionnel", lâche le Père Henri Boulad
Ensuite, que faire ?
Evidemment, agir.
Hé bien, dans tout ce que j'ai lu, écrit depuis l'assassinat du père Hamel, par des chrétiens qui se revendiquent comme tels, la seule action que j'ai vue conseillée, c'est ... tendre la joue gauche ! Et dialoguer (comme si le dialogue à sens unique entre des musulmans sûrs de leur foi et des chrétiens prêts à tous les reniements avait le moindre rapport avec le problème).
C'est navrant de bêtise. C'est en-dessous de tout. C'est de l'abandon de poste en présence de l'ennemi.
Des Pères de l'Eglise se sont cassé le cul à élaborer une doctrine de la guerre juste, en long, en large et en travers, et le seul truc qu'on trouve, c'est tendre la joue gauche ? Nous sommes tombés bien bas.
Avec des abrutis pareils, nous n'aurions jamais fait les croisades, nous n'aurions jamais évangélisé plus que trois lopins de terre.
Il y a dans l'Ancien Testament assez de guerre, de bruit et de fureur pour nous donner quelques leçons.
« Celui qui ne met pas en colère quand il y a cause pour le faire commet un péché. En effet, la patience déraisonnable sème les vices, nourrit la négligence et invite au mal non seulement les mauvais, mais même les bons ».
Saint Jean Chrysostome
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