La thèse en vogue dans les medias, c'est que Fillon est la droite « dure », « thatcherienne » et que, ce faisant, il favorise la mobilisation de la gauche et le dégonflement du FN.
Mais, comme d'habitude, les medias sont une boussole qui indique le sud. Si Fillon est dur, moi je suis un croisement de Gengis Khan et d'Attila.
La vraie menace pour Fillon est au contraire de se « juppéiser ».
J'en rigole déjà.
Bon. N'empêche, sur ce coup, je suis assez content de moi : après m'être trompé sur les votes Brexit et Trump, je n'ai pas osé afficher de prédictions sur les primaires de la fausse droite, mais je sentais bien, tirant les leçons du Brexit et de Trump, que le candidat des médias, le maréchal Juppé allait en chier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire