L'équipe Hollande + fanatiques judiciaires + vautours de presse a piégé François Fillon et celui-ci, mauvais comme cochon, a accumulé les erreurs stratégiques et tactiques qui ont joué dans la main de ses ennemis (à ce stade, on ne peut plus parler d'adversaires mais bien d'ennemis).
Si on a le goût de l'humour noir, on peut remarquer un coté comique à cette affaire : ce qui est reproché est anodin. Voir le comportement de ceux qui en font des tonnes dans cette affaire par rapport au ridicule des faits prête à rire.
Toujours est-il qu'il s'agit d'un véritable vol d'une campagne électorale à un moment crucial pour le pays. C'est une forfaiture, un crime contre le pays, dont j'espère, si Fillon ou Le Pen étaient élus, qu'il sera puni avec la plus grande sévérité.
Un signe de la grave crise de notre démocratie est qu'aucune voix ne se fait entendre à gauche pour soutenir Fillon et exiger un combat à la loyale.
La classe jacassante parisienne est persuadée que ce putsch électoral a déjà réussi, qu'Emmanuel Macron et Marine Le Pen seront au second tour et qu'Emmanuel Macron sera président.
Mais la caste n'est pas le peuple. Est-ce si sûr que le peuple va s'y laisser prendre ?
Digression : ces histoires remontent encore Trump dans mon estime. La comparaison Fillon / Trump est cruelle pour le Français.
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