Emmanuel Macron évoque les « gens qui ne sont rien » et suscite les critiques
Le peuple, grand absent du quinquennat Macron ?
Tout le monde (sauf, bien entendu, les macronistes et les gamellards crypto-macronistes) est d'accord pour considérer que le vote Macron est un vote de classe, et même, de mépris de classe.
Seulement voilà, il y a deux sortes d'électeurs de Macron : ceux qui font vraiment partie de la haute, sont de véritables gagnants de la mondialisation (je ne suis pas sûr qu'ils soient si nombreux) et ceux qui ont voulu se donner l'illusion de faire partie des « ouineurs » mais n'en sont pas vraiment, ou pas complètement, ou le sont (par exemple) par l'intermédiaire de leurs enfants. La grande troupe des suiveurs, des courtisans, des obséquieux, des soumis enamourés du mâle alpha, des admirateurs des gorilles (comme dirait Solal dans Belle du Seigneur).
Ceux-là vont vite déchanter, parce que le mâle alpha aime bien leur foutre une mandale de temps en temps pour montrer qui c'est le chef. Et je ne serai pas surpris quand ils nous ressortirons le sketch qui a tant servi pour Hollande : « Ce n'est pas ce que nous voulions. Nous avons été trompés à l'insu de notre plein gré. Et patati et patata ... »
Pendant ce temps :
Muriel Pénicaud et ses décodages (je trouve cette hystérie de moralisation ridicule, mais quand le moralisateur se fait moraliser, c'est difficile de ne pas rire).
Et les cocus du macronisme vont bientôt venir chialer.
Je me marre ...
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