Laura et Mauranne seraient encore vivantes si Nicolas Sarkozy, sous l'influence de Bertrand Tavernier, n'avait pas aboli l'expulsion des délinquants et criminels étrangers.
Ils peuvent plaider la fatalité, les circonstances imprévisibles, mais ça ne tient pas : de quelque manière qu'on retourne la question, préférer afficher sa belle âme en faveur d'étrangers plutôt que de se soucier de la sécurité de ses concitoyens est une trahison, une saloperie.
J'espère qu'un jour, toutes les dettes se paieront.
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